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[...] Des ich nicht verswigen soel Vnd in ander nöt d0 liessen Vnd sags doch niut gerne Das solt man von (von in) billich clagen Jedoch mag ich sin nicht enberen Ich hoert och von im mere sagen Ich mues es ouch hie vnder sagen Das siner diener mere Vnd mag es duerch niut verdagen Denne viertzig wider ir ere [...]
[...] Graff Albrechtes kam ze haent Gelükke soel in verren Des selben Grafen dinere Vnd alles vngelüke nahen Brachtent in die mere Das si in notten sachen Ze oren: vnd seiten wie das was komen Ier herren vnd im huelfen nicht Hertzoeg Oettoalls ir hant vernomen Es war ein chleglich geschiecht [...]
[...] Der fuor gar köstliche Das si in vechten hiessen Vnd was an habe Riche Vnd in an den notten liessen Dominneten die diner mere Das verriuwet miech niemer Das guot denne ir herren ere Man sol es clagen iemer Vnd rieten im durch geitikeit Das also chlegliech verdarb [...]
[...] frère et sœur, et qu'on ne puisse pas les unir, car jamais femme accomplie n'eût trouvé un époux aussi digne d'elle ! Toutes les mères désiraient Brahim pour leurs filles et Ou rida pour leurs fils. Chacun portait envie à leur vieux père, et le † de son bonheur. [...]
[...] urida n'avait de regards que pour son frère et dédaignait tous les jeunes gens du voisinage. Comment il se fit que ces deux eniants du même père et de la même mère finirent par s'aimer d'un a- - mour criminel, [...]
[...] grands cônes confondus à leur base, mais distincts dans leur partie supé rieure. « Le père et la mère sont près d'eux, se tenant également § ;» et il indiquait deux autres pyramides [...]
[...] L'enfant, transporté dans son berceau, et qui dormait pai siblement sur une table du grefle, tut reinis, en consé quence, à sa prétendue mère, qui l'étreignit contre sa poi trine avec une violence sauvage , une passion frénétique. « Maintenant, s'ecria-t-elle après l'avoir couché sur son [...]
[...] et avec son horrible sourire, le Scorpion bohémien... Que n'est-il aussi celui de mon rom ! » La pauvre mère arracha l'enfant des mains crispées qui le lui présentaient.... souleva le mouchoir qui lui couvrait la tête... et, sans dire un mot, sans pousser un cri, s'allaissa [...]
[...] mon effroi, surtout quand on saura que j'étais très-superstitieux et que j'avais une imagination facile à exalter. « N'as-tu rien rencontre ? » me demanda ma mère lorsque je rentrai. Mon cœur battait si fort que je pouvais a peine parler. « Rien, ma mère, lui ré pondis-je. » Mon père mourut trois jours après. Son cadavre gisait [...]
[...] battait si fort que je pouvais a peine parler. « Rien, ma mère, lui ré pondis-je. » Mon père mourut trois jours après. Son cadavre gisait Sur le lit. Je couchai à côté du lit avec ma mère Un grillon chanta toute la nuit. « li est mort, s'écria ma mère, en s'adres sant au grillon ; tu n'as pas be oin de l'appeler. La jeune vierge [...]
[...] crut y voir et nous montra une jeune fille qui avait les bras ou verts. « Elle est venue me prendre, » dit-il en plaisantant. Tandis qu'il était étendu sur son lit de mort, ma mère se rappela cette cir constance, qui occupait aussi mes pensées. On l'enterra dans le cimetière de Saint-Kund. Ma grand'mère planta des roses sur [...]
[...] dies ou des drames. » Quand Andersen eut atteint l'âge auquel les enfants de sa con dition doivent songer à gagner leur vie, sa mère, qui le voyait sans cesse occupe à habiller des poupées, s'imagina qu'il avait une vocation décidée pour le nétier de tailleur, et voulut le [...]
[...] discretion. » Dans le principe, Andersen ne songeait pas à devenir auteur ; il voulait seulement être acteur. Sa mère essaya en vain de le faire changer de résolution. Une sorcière qu'elle consulta lui ayant répondu que les rues d'Odensée seraient un jour illumi [...]
[...] me racontait toutes ses relations. Elle ne semblait pas avoir une très-vive allection pour son père; mais, en revanche, elle parlait de sa mère avec une tendresse enthousiaste. « Dieu soit loué ! me dit-elle un jour; que mes parents aient la joie de me voir fiancée avec toi, après la douleur que [...]
[...] restée fille. . — Maïa, m'écriai-je, c'est un joli nom ! - C'est celui de sa mère, qui était Suédoise. Mais, pense un peu. Le père de Henning fut si affligé de ne pas marier son fils avec ma sœur, qu'on croit que ce chagrin a été en [...]
[...] un peu. Le père de Henning fut si affligé de ne pas marier son fils avec ma sœur, qu'on croit que ce chagrin a été en artie cause de sa mort, et ma mère dit que Maïa a cela sur a conscience. — Ta mère a tort. Il me semble que, dans cette circon [...]
[...] — Est-elle jolie? - Non, pas du tout, et elle ne possède aucun talent qui mérite d être signalé. Ma mère dit qu'elle ne s'entend qu'à faire les honneurs d'un diner, chose qu'elle a apprise chez son oncle. Maintenant cet oncle est mort. Son fils ait [...]
[...] son oncle. Maintenant cet oncle est mort. Son fils ait partager son héritage avec Maïa comme avec elle s'y est refusée. Ma mère dit qu'elle a euA6ort et é # tait bien le moins qu'elle acceptât une forfiine'd : célai # [...]
[...] Maïa en tout ce qu'elle fait. Bientôt elle quittera la Suède pour venir demeurer avec nous, ce quine sera pas fort réjouissant, car mon père la gâte, et ma mère a déjà eu à cause d'elle plusieurs scènes désagréables. » Ce récit me donna une nouvelle inquiétude. Je vis avec [...]
[...] Ce récit me donna une nouvelle inquiétude. Je vis avec peine les relations dans lesquelles j'allais entrer : une famille désunie, un père et une mère injustes envers chacun de leurs enfants; une sœur qui devait être la mienne et qui m'ap paraissait froide, contrainte, hautaine, et assombrie peut [...]
[...] Le bateau à vapeur de Copenhague nous apporta le con sentement que nous attendions. Le père de Charlotte n'écri vait pas; mais la mère m'adressait une lettre flatteuse, si flat teuse, † me rendit confus. Les qualités de sa fille n'é taient du reste pas oubliées, et elle me félicitait d'épouser [...]
[...] avait reconquis sa liberté. — Mais où donc l'as tu connue ? - A Stockholm, où ma mère demeura plusieurs années. J'allais souvent dans la maison de l'oncle de Maïa. Ah ! quel homme! et quelle maison ! Jamais je ne retrouverai rien de [...]
[...] nous acheminâmes vers le spectacle, qui était commencé de puis longtemps.Après avoir, non sans beaucoup de peine, trouvé deux places pour Charlotte et sa mère, je rejoignis M. ll , qui m'avait invité à aller chez un restaurateur me ré conforter avec lui de la disette de notre diner. Il me lit en [...]
[...] les honnêtes gens et ne répondrait plus du tout à l'espèce d'idéal qu'on s'en est fait. Le théâtre du Palais-Royal, cette mère Gigogne des comé 'dies-vaudevilles, a enfanté deux fois presque dans la même soirée : Une Existence décolorée et Jacques le Fataliste; ainsi [...]
[...] l'ordre, le calme, y succédèrent à ce trouble inquiet, à cette agitation sans but qui m'avaient tant latigué. Lorsque Maia venait se joindre à sa mère et à sa sœur, la conversation prenait aussitôt un caractère animé et intéressant. M. ll..., qui auparavant désertait chaque soir sa demeure, restait là [...]
[...] maintenant avec bonheur, et de temps à autre amenait avec lui quelques amis. Tout ce changement s'était opéré sans exciter entre la mère et la fille la moindre dissidence. En di rigeant la maison, Maïa en laissait tout l honneur à sa mère ; elle la consultait avec une déférence respectueuse, et semblait [...]
[...] d'espoir, de résignation, voilà ce que l'on ne peut faire sans une sincère et réciproque aflection. » Puis, prenant la main de sa mère et la baisant en pleurant. « Pardonnez-moi, dit-elle, si je vous parle avec cette vi vacité, mais je ne puis me résoudre à voir ainsi Henning F... [...]
[...] reconnaissant de la sympathie qu'il lui avait témoignée pen - dant la dernière maladie de son oncle. Un jour que Char lotte devait faire avec sa mère une promenade hors de la ville, et que Maia devait rester seule à la maison, je résolus d'aborder enfin cette terrible question. Mais comment ex [...]
[...] sembla qu'elle cherchait à m'éviter. Je fis cette remarque avec douleur, et je redoublai tellement d'attention près d'elle que ma belle-mère commença à concevoir quelques soup çons et m'en témoigna son mécontentement. Charlotte, au contraire, n'avait pas la moindre inquiétude. Il n'entrait pas [...]
[...] vers sa demeure. Je frappai à sa porte. Elle était fermée. J'entrai au salon, et j'y trouvai Charlotte seule. « Ma mère est sortie, dit-elle d'une voix larmoyante, et ma sœur aussi. Ma mère, ajouta-t-elle avec des sanglots, m'a dit plusieurs lois que tu ne m'aimais pas bien. Je ne [...]
[...] Il me serra la main et s'éloigna. Le lendemain matin, je me présentai dans la maison de M. H. On me dit que Maia était souffrante, et que sa mère et sa sœur ne recevaient pas. En sortant de là, je rencontrai Henning qui, me prenant par le bras, s'écria : [...]
[...] un recueil de feuilletons. L' a bonnement annuel est un des premiers articles qui figurent dans les dépenses de la mère de famille, pour elle comme pour ses enfants. Un gros volume par an ; un beau cahier par Inois, enrichi de magni [...]
[...] aimait les arts avec intelligence et avec assion. Sa mère tait une femme d'un haut mérite, qui sut [...]
[...] core une de ces jolies histoires que M. Scribe dévide si bien. Admirez plus que jamais cet esprit créateur : un mari jeune et débonnaire, la jeune femme enfant gâtée, la belle-mère brouillonne, un oncle raisonneur. Ne voilà-t-il pas de beaux ingrédients, pour composer une comédie toute neuve ! cela [...]
[...] tance. Les événements s'y § dans des proportions randioses ; on marche au milieu d'un intéressant cortége e femmes séduites, de mères abandonnées, d'enfants mis à mort, de trahisons qui réussissent, de forfaits accomplis, et uis enfin, on sort de cette vallée de larmes, l'œil humide, [...]
[...] rent pendant plus d'une année dans cette situation avec au tant de bonheur que de courage. Mais, malgré quelques renforts qu'ils avaient reçus de la mère patrie, leur posi tion devenait chaque jour plus difficile. Une trêve fut bien tôt suivie d'une capitulation. Par une convention passée en [...]
[...] arlerons à l'occasion des ta § de genre. - M. ELMERICH : La Mère et ses petits. Cette bonne bête, à poil blanc et à taches jaunes, folâtre # # nichée de mème couleur qu'elle. Un seul de ses petits cependant est [...]
[...] les ailes des vents, couraient avec nos navires voyageurs ; et lorsque je touche du doigt ces deux éloquentes figures, je cherche l'enfant pulvérisé qui a laissé sur le sein de sa mère une empreinte si dramatique ! Je vois encore aux flancs de ces Cordilières neigeuses, qui [...]
[...] — Est-ce que nous sommes deux depuis que nous nous connaissons?poursuivit Kalida qui se reconnaissait épouse et mère à la fois... Un danger nous menace, je le vois; allons à lui, Torrijos; allons-y de front, serrés l'un contre l'autre. Viens, Vlens... » [...]
[...] C'était un jaguar accroupi près de sa compagne morte ! Kalida tomba un genou à terre et pâlit... Elle allait être mère : la surprise, l'effroi, venaient de hâter l'heure de sa délivrance ; mais, courageuse pour elle, tremblante pour son enfant, elle résistait à la douleur , elle ne poussait aucune [...]
[...] « Il semble demander grâce, dit Kalida d'une voix à peine entendue; ne le tue pas, il souffre... et puis, si tu succombes, la mère et le fils mourront sans sépulture... Torrijos aspirait déjà l'haleine fétide du jaguar; quatre pas les séparait à peine, il vise, il va faire partir la détente... La [...]
[...] cles, mais qui a laissé ses traces sur les flancs amaigris de la malheureuse mère... Que de douleurs sur ces deux figures sans mouvement !... C'est la faim, c'est la soif, c'est la torture de l'impuissance [...]
[...] ^" Et ta mère,lEugène! * - Sire, elle est engagée aux Folier-Dramatiques. : - Oh ! 'suis tranquille. [...]
[...] vil von den kaiserlichen gaben, als alle waſser habent grund fluſs aus des gröſsen meres slund, man well dann velschen gotsgesetz und das gerechte machen letz. [...]
[...] pring her wein, pring her wein, und dir dein selden mére. nü schenck ein, nü schenck ein, [...]
[...] wird daS lediglich aus dem ludeigenen Wohnhause Nro. 215 bestehende Anwesen des Schreiners Simpert Salcher in Mering wiederholt dem öffentlichen Verkaufe im Verfteigerungswege un- «erstellt, und hiezu Terinin auf [...]
[...] Freitag den 17. September l. IS. Vormittags 9-12 Uhr beim Kretzerbräu. in Mering anberaumt. Hiezu werden Kaufsliebhaber mit dem Bei, fügen eingeladen, daß hiebe! nach SS 99 und 100 [...]
[...] Auf Andringe» eines HppothekgläubigerS wird das Anwesen des Bernhard Meßger HaüS8 ln Mering, beftchmd «iuS dem gemaütt^ Nro tm Wohnhause mit Stall unter Ziegel« und Strohdach, mit Hosraum und Garten per 12 Dec., [...]
[...] Dienstag den 14. December l. IS. Vormittags von 9 bis 12 Uhr in dem Kretzerbräuhause zu Mering angesetzt. Hiezu werden Kaufsluftige unter dem Anhange eingeladen, daß dem Gerichte unbekannte Käufer [...]
[...] Taglöhner Joseph Riedmüller angehörlge, mit 600 ff. gegen Brand «ersicherte halbe Wohnhaus Nro. 218^ in Mering, mit dem dazu gehörigen Waldthelle per 42 Decimalen zusammen auf 800 fl. gerichtlich eingewerthet, dem ZwangSverkaufe un [...]
[...] Dienstag den 30. November l. IS. Vormittags von 9 — 12 Uhr im Kratzerbräuhause in Mering anberaumt, wozu Kaufsluftige mit dem Bemerken eingeladen wer den, daß dem Gerichte unbekannte Käufer sich über [...]
