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[...] l'impatience d'un prochain bonheur. Kerglus, en effet, allait revoir son bourg natal et sa vieille mère, et sa chère sœur Olivette, et sa chaumière, et ses amis. Il était parti mousse; il [...]
[...] doucement et vint s'agenouiller aux pieds de la vieille femme. - - — Pourquoi pleurez-vous, ma bonne mère ? dit-il en la pressant dans ses bras. La mère Kerglus poussa un cri ; alors, reconnais [...]
[...] La mère Kerglus et Olivette ouvrirent de grands yeux à la vue de tant d'or et d'argent et le félicitè rent beaucoup sur sa fortune. Le jeune marin se [...]
[...] rent beaucoup sur sa fortune. Le jeune marin se prit alors à compter son trésor, et, faisant deux parts égales, offrit l'une à sa mère et remit l'autre dans son escarcelle. A cette action, la mère Kerglus se leva fortement émue, et embrassa encore son fils [...]
[...] tu as envie de pleurer. Es-tu mécontent de ta fa mille? — Quoi! tu ne sais pas?... Ta mère et ta sœur ne t'ont donc pas dit... | -- Pas un mot de tes peines, mon vieux cama [...]
[...] dait depuis longtemps. — Il paraît que M. le maire et M. le curé t'ont fait jaser sur tes voyages, dit la mère Kerglus; la soupe aux choux est trempée depuis une heure au moins. [...]
[...] soupe aux choux est trempée depuis une heure au moins. — Bien des pardons, ma mère; je n'ai pas mal jasé, en effet, et, ma foi ! j'ai oublié l'heure. — Bah! nous n'en mangerons que davantage, [...]
[...] — Voilà une soupe, dit Penaros, qui ferait reve nir un ou plusieurs morts. — C'est Olivette qui l'a soignée, dit la mère Kerglus, et c'est soigné, on peut le dire, en con science. [...]
[...] y avait dans ce bon gros rire quelque chose qui sen tait un appétit dévorant. — A table ! s'écria la mère Kerglus. La compagnie fit un mouvement pour se placer ; mais le notaire l'arrêta court. [...]
[...] brillait sous sa paupière ; et le sourire s'épanouissait sur ses lèvres. - 0 ma mère ! ô ma sœur ! murmura-t-il, vous allez être heureuses, Dieu soit loué ! Alors, il se prit à fredonner une chanson guer [...]
[...] Puis la mère et l'enfant rentrèrent dans la masure et je ne vis plus rien. Mais on a de singulières obstinations, dans la vie, [...]
[...] j'appliquai l'œil avidement à une de ses nombreuses CI'0V8SS0S. La mère Jeanne, assise sur un vieil escabeau, pleurait et semblait supplier son fils qui, agenouillé devant elle, achevait de ranger quelques hardes sur [...]
[...] — Ce n'est pas l'argent qui me tient au cœur, ré pondit la mère Jeanne, mais toi, mon petit; quand te reverrai-je? — Ayez espoir, comme disait notre vieil ami, [...]
[...] comme une bête. Au bout de quelques minutes, cependant, la voix de la mère Jeanne s'éleva de nouveau, mais calme cette fois, lente et solennelle. — Nicole, mon Nicole, mon petit, prions, puis [...]
[...] rage de te dire : « Suis ton instinct ! Si tu pars, pars sans me revoir ! » Mais là-bas, à Paris, répète-toi chaque jour : « Ma mère m'a béni... ma pauvre mère m'attend ! — Après cela, il n'y eut plus, dans la masure, qu'un [...]
[...] La mère Jeanne continuait à habiter la Hutte au Diable. Mais la décrépitude arrivait tout à la fois, et pour la vieille femme et pour la vieille masure : [...]
[...] Tout ce que je parvins à remarquer, c'est qu'à chacune de ses visites M. le curé donnait de l'argent à la mère Jeanne, Cet argent arrivait donc avec la [...]
[...] ger, si rapide, qu'on eût dit qu'il n'avait que vingt 8 IlS. La mère Jeanne vint comme d'habitude à la ren contre du bon vieillard. Il lui dit quelques mots tout [...]
[...] soupçonnions pas là se dégagea de la futaie voisine et vint s'arrêter devant la Hutte au Diable. La porte en même temps s'ouvrit, la mère Jeanne [...]
[...] Cependant, je ne voulus pas croire encore. Je revins le lendemain matin au grand jour. Plus de mère Jeanne? De même les jours suivants. Et depuis jamais plus on n'entendit reparler ni de [...]
[...] — « Eh bien ! petit, que regardes-tu là ? c'est un muguet, une pervenche. — Qui soigne ces fleurs, ma mère ? — Dieu. — Où est-il ? [...]
[...] père retourne à la ville. — Souviens-toi de ton serment , lui dit ma mère, si tu nous reviens ce soir, nous serons sauvés ! ... » « Hélas ! mon père ne revint que le lende [...]
[...] « Hélas ! mon père ne revint que le lende main , mais joyeux et apportant une dentelle pour ma mère, et un livre d'heures pour moi. Ma mère serra la dentelle en silence et tomba dans une grande tristesse. Quand toute la ferme [...]
[...] sai la nuit à sangloter et à étouffer mes san glots; j'avais tout entendu, ma chambre étant voisine de celle de mon père et de ma mère. « Le lendemain, quand je vis sur le visage de ma mère les traces de ses larmes, je la [...]
[...] comblai de caresses et n'embrassai pas mon père. « Ma mère devint pâle, et d'un regard me dit : [...]
[...] nous quitterons, car je ne puis plus te nour rir. » « Nos braves serviteurs pleuraient ; ma mère aussi, moi aussi. — Hélas ! mon pauvre enfant, je ne me dou [...]
[...] — Hélas ! mon pauvre enfant, je ne me dou tais guère à ta naissance que tu connaîtrais la misère !... » me disait ma mère en m'embras sant toujours. « Marguerite partit ; François me montra les [...]
[...] sant toujours. « Marguerite partit ; François me montra les labours, ma mère prit soin de l'intérieur de la ferme. Notre activité, notre courage, notre [...]
[...] que dans le bonheur; entre ma mère et moi, il y eut des dévouements et des tendresses qui nous consolaient de nos peines ! Mais nous [...]
[...] gissait aux portes et dans l'âtre ; la basse-cour était déserte; chevaux, bestiaux, tout était vendu ; la ferme semblait morte, et ma mère me disait : — Il faudra donner notre pauvre chien ; [...]
[...] tinait à ne pas répondre. — Je vois quelque chose, balbutia enfin la jeune fille d'une voix étranglée. Regarde, mère, regarde tout [...]
[...] repose aussi bien gardée dans son petit tombeau de plomb qu'une amande de pêche dans son noyau. - Cependant, mère, le fantôme est toujours là et il ne veut pas s'en aller, repartit Toinette qui avait instinctivement suivi l'exemple de sa mère et fait le [...]
[...] des bois, se fit entendre devant l'une des fenêtres qui d'en haut éclairaient le souterrain. Cette voix rassura la mère et la fille et les arrêta tout court dans leur fuite. — Hugo ! s'écria aussitôt la femme Michelet qui [...]
[...] avait repris quelque courage. Hugo ! est-ce toi?des cends vite auprès de nous ! — Ah ! petite mère, vous êtes là-bas ? répondit à cet appel une joyeuse voix de jeune garçon. En même temps une figure rose, encadrée dans une [...]
[...] tendit les pas de l'enfant descendre rapidement l'es calier. — Me voilà, petite mère, répliqua le jeune garçon, qui pouvait avoir treize ans, mais dont la taille haute et vigoureuse accusait un âge plus avancé. [...]
[...] manche de votre brosse et mettez-vous en sûreté avec Toinette, pendant que j'irai parler avec ce morceau de bois à mon inconnu. Retirez-vous, mère; Toinette, retire-toi. Pouf! voilà un coup superbe. En voici [...]
[...] rive plus, et de cette manière nous aurons au moins fait quelque bien. — Vous avez raison, mère; vous avez toujours rai son, dit Hugo tout confus. — Et vous êtes bonne, ajouta Toinette attendrie. [...]
[...] dégénérés. - S'adressant ensuite à Hugo qui, de même que sa mère et sa sœur, était resté muet témoin de cette scène. - Hé ! garçon, lui dit-il, enlève ces peaux de [...]
[...] gaieté que l'enfant n'éprouvait peut-être pas dans son COBUII' : — Tiens, petite mère, l'histoire des lièvres nous a fait entièrement oublier le bon oncle, qui depuis long temps déjà se chagrine et s'impatiente à attendre votre [...]
[...] cette persuasion, il partageait déjà dans son esprit le trésor entre sa mère et sa sœur; il se réjouissait d'avance de tout le bonheur qu'il allait leur procurer. Dans le ravissement qu'il éprouva devant le [...]
[...] les meubles avec la légèreté d'une allouette qui fait son nid. Des rayons de l'aurore l'enveloppaient d'une aurore éblouissante. Une femme âgée, sa mère probablement, l'aidait à mettre en ordre le pauvre ménage. [...]
[...] éprouver de cet embarras un plaisir qui se réfléchis sait en rose sur sa gracieuse figure. Un moment la mère sortit. Les deux jeunes gens parurent alors échanger de rapides conſidences. La jeune fille semblait dire : [...]
[...] maintien, et son visage souriant et triste exprimait comme la crainte d'un malheur. La mère revint. Le jeune homme se retira. Je me penchai sur mon balcon pour le voir passer dans la rue. [...]
[...] jolie brodeuse à sa fenêtre. Elle avait une toilette aussi simple que fraîche, et eile semblait attendre l'heure de la promenade. Sa mère avait aussi revêtu ses modestes atours. Le jeune ouvrier arriva. La mère me parut l'ac [...]
[...] pleuraient, en se cachant leurs larmes l'une à l'autre. Un après-midi, la mère tira d'une armoire diffé rents objets de toilette ; elle en fit un paquet et . quitta la chambre. Quand elle rentra, elle rapportait [...]
[...] . ignorant les cruels motifs du chagrin de la mère et [...]
[...] de la fille, apportait souvent des fleurs aux pauvres affamées ! La mère tirait chaque jour quelque harde de l'ar moire, sortait et rapportait du pain. C'était leur seule nourriture. [...]
[...] cierge de la maison pénétra dans la chambre et re mit une lettre à la jeune fille. Celle-ci jeta un regard sur la lettre et rendit la missive. Mais la mère ren [...]
[...] TeIll. La pauvre brodeuse avait l'air stupéfait ; l'atti tude de la mère indiquait, au contraire, la satisfac tion, l'espoir. Mais la jeune fille lui rendit soudain le papier, se [...]
[...] tomate, la tête perdue; dans son trouble, il ne trou vait pas la porte du palier. Après son départ, la mère reprit la lettre, et, s'asseyant devant la table, elle se mit à en écrire la · réponse. [...]
[...] quants, que ma curiosité s'en enflammait en core. On recevait d'elle des lettres à la fois si gaies et si tristes, que ma mère et grand' mère riaient et pleuraient tour à tour ; mais, hélas ! on ne me les lisait pas !... [...]
[...] mère riaient et pleuraient tour à tour ; mais, hélas ! on ne me les lisait pas !... — Grand'mère, contez-moi donc la cousine Rosalie, disais-je souvent. [...]
[...] — C'est impossible, il faut la voir, me ré - pondait-elle avec un découragement marqué (pendant que ma mère souriait à ce pro pos). — Est-elle jeune? [...]
[...] de toutes les broderies de la famille depuis 1780. Bonnets de baptême, robe de noce, tout était là , et faisait causer mères et grand'mères. « Où est le temps où je portais cette broderie ! » s'écriait-on; et l'on parlait de ce temps... [...]
[...] un bonnet en pèlerine. « Elle est un peu courte, j'en conviens, fai sait-elle observer à ma grand'mère ; mais songe donc, Marie, que cette pèlerine était un bon net ! » - [...]
[...] — Si heureuse !... s'écria-t-elle d'une voix émue , tu ne connais donc pas ma vie ? Ta mère, ta grand'mère ne t'ont donc jamais rien dit ? — Jamais ! [...]
[...] huit ans j'ai travaillé pour vivre; ce sont tes deux mères qui m'ont assuré l'indépendance, et voici mon histoire : « Tu sais déjà que j'étais laide, n'est-ce pas? [...]
[...] Paris; ta grand'mère venait de s'y marier. Nous avions été toutes deux au couvent de Pé ronne; ta grand'mère était délicieusement jo [...]
[...] je pleurais alors ! car je n'y trouvais pas cette tendresse que je ne devais jamais inspirer !... Ma mère pleurait avec moi. - Et il n'a jamais connu ton affection, cou sine ? [...]
[...] se souvenir de moi, Hélas! ma pauvre cousine fut prophète; ma grand'mère mourut avant elle, ma mère se re tira dans une terre éloignée de Paris ; je fus nommé à un emploi au fond d'une province où [...]
[...] voix, lui donnaient tant de ressemblance avec les anges, que son hommage ne pouvait manquer d'être agréable à la Mère du Christ, et de toucher à la fois les enfants et les mères qui assisteraient à cette belle céré monie. [...]
[...] Sa mère pleurait de bonheur. Quand arriva la fin de l'hymne Gaudere , et la tare, o Virgo Maria ! les enfants de chœur jetèrent sur lui les roses effeuillées [...]
[...] fortune. La cérémonie commença. La mère ne pleurait pas; seulement, avec une joie indicible, elle se sentait affaiblir à mesure que la cérémonie s'avançait. [...]
[...] La mère tomba à la renverse, et toute l'assistance se mit à genoux en pleurant, car l'ange qui chantait, c'était le petit Jean, sur la même dalle, vêtu de sa [...]
[...] ruisselants sur ses épaules et retenus sur son front par une bandelette bleue. La mère rampa sur ses genoux jusqu'à lui, et le saisissant avec force, semblait craindre qu'on vînt le lui arracher. - [...]
[...] Justement, un mousse passa, - - Holà !... mouscaillon !... voilà deux sous pour toi... va remettre cette lettre à la fille de la mère Jeanne. Prompt comme l'hirondelle de mer qui fond sur un [...]
[...] poussait en avant, desyeuxje suivislemousse, lalettre... Il arriva rapidement à l'autre bout du village... Il s'arrêta devant la maison de la mère Jeanne. Il entra. C'était fini ! Je me retournai vivement de l'autre côté..... A [...]
[...] révolution... querellé tous les garçons... effarouché toutes les filles. En ramenant au matin Marie chez sa mère, il fît une scène épouvantable... On eût quasiment juré qu'il allait les battre toutes les deux. [...]
[...] Lorsque Marie fut auprès de Pierre, les deux jeunes gens s'agenouillèrent devant elle, et lui dirent : — Ma mère ! Il n'y avait pas jusqu'à la vieille mère Jeanne qui ne pleurât d'attendrissement, et qui , dans le grand [...]
[...] ne pleurât d'attendrissement, et qui , dans le grand fauteuil assise, marmottait : — Votre mère... oui... maintenant... oui... oui, mes enfants ! Peut-être ajoutait-elle tout bas, et avec quelque [...]
[...] disait-elle. il vivrait encore ! pourquoi n'ai-je pas suivi ses conseils ? - Et chaque fois que la mère de ce pauvre enfant Venait au château, Noémi courait se cacher, car la douleur de cette malheureuse mère était pour elle un [...]
[...] — Contes de nourrice, bons pour endormir les petits enfants, répliqua la jeune fille; laissez-moi descendre et voir si ma mère est éveillée... — Teresa, Teresita, reprit le capitaine, voyez vous cette brume devant nous? [...]
[...] - Eh ! oui, répliqua le marin, puisque c'est à cause de vous que je me suis approché de ces îles... — Ma mère, ma mère, cria vivement Teresa, montez sur le pont; une terre, une île, là, tout près de nous... Capitaine, il n'y a point de sauvages au [...]
[...] agi de faire son entrée dans une capitale, dona Rosa rio s'habillait lentement. — Chère mère, disait Teresa, pressez-vous donc ! Je vois bien qu'il faut que je vous aide... Quel [...]
[...] des réaux, en voilà à pleines mains; prenez, ramas sez et faites silence. - Teresa, lui cria encore sa mère, viens donc et laisse là cette troupe de mendiants ! - Ce sont des visages humains, répliqua Teresa ; [...]
[...] - Ce sont des visages humains, répliqua Teresa ; il y a longtemps que je n'en ai vu. Tenez, chère mère, regardez un peu celle qu'ils appellent Manoe [...]
[...] riant aux enfants, qui la contemplaient la bouche béante, et aux duègnes qui la saluaient. Dona Ro sario, sa mère, commençait à trouver la promenade peu attrayante. — Senoras, demanda alors le capitaine qui les [...]
[...] bien venir avec nous? — Oui, je le veux bien, et puis, à moitié chemin, nous trouverons la maison de ma mère, où vous pourrez vous reposer. — Et prendre quelque chose ? car j'ai bon ap [...]
[...] dez, Manoelita ? Donnez-moi votre main, relevez la tête, essuyez vos yeux bleus et ne pleurez plus. C'est chose convenue entre ma mère et moi; puisque vous [...]
[...] peu surprise d'un si brusque élan de familarité, me voilà toute décoiffée... Puis, s'adressant à la mère de Manoela : — Votre fille sait coudre, n'est-ce pas ? Elle sait manier l'ai guille, tailler, broder... [...]
[...] cessa d'aller à l'église, il s'éloigna de sa mère. Au lieu de se rendre aux vêpres, il courait jouer aux quilles, ou partait dénicher des nids. Chaque dimanche le garde cham [...]
[...] teux; quand toutes les misères du premier âge fondent à la fois sur lui pour en faire un objet de pitié et parfois de dégoût, la mère toujours dévouée, sublime et tendre, la mère préfère à ceux qui vivent celui qui menace de mourir; à ceux qui sont beaux, roses et souriants, celui qui pâle, noué, fiévreux ne peut [...]
[...] baisers de mère ! Marthe ne préférait pas Yves à Aubin : elle était trop juslº pour cela. Mais elle l'aimait toujours, elle l'aimait quand [...]
[...] les bras nus. º « Une chenille ! une laide chenille ! » dit le coupeur de paille. Il ajouta : « comme sa mère ! » Il saisit l'enfant dans son berceau. Armelle cria, Annette ac courut. [...]
[...] inquiète pour son enfant. « Qui l'élèvera ? demandait-elle. . — Une bonne mère, la charité ! » - Deux voisines vinrent assister la mourante. On apporta la petite Armelle. La chèvre suivit son nourrisson et se dressa près [...]
[...] d'indicibles terreurs. Le coupeur de paille le voyait et frémissait de rage. « Comme sa mère ! murmurait-il, comme sa mère ! » ll paya exactement les six francs par mois promis à la Chan tefleur, et le jour où sa fille eut sept ans, il vint la chercher. [...]
[...] lui parle... Pour moi, elle est glacée... » Il murmura : « Sa mère [...]
[...] - mère les douces et suaves salutations du rosaire. [...]
[...] Armelle était tombée, c'est ta mère, et tu l'appelleras maman. — Ma mère est morte ! dit Armelle d'une voix grave, — Ce sera ta seconde mère. [...]
[...] — Ma mère est morte ! dit Armelle d'une voix grave, — Ce sera ta seconde mère. — Ma seconde mère est la Chantefleur. — Et ma femme, qu'est-elle donc ? - Votre femme ! répéta Armelle stupéfaite, votre femme, [...]
[...] exemple. Jamais l'enfance n'avait été si coquettement vêtue que maintenant. Les petites filles sont habillées comme leurs mères ; les façons sont les mêmes, seules les étoffes diffèrent. A ce sujet, lorsque nous sommes embarrassée pour renseigner nos lectrices, nous nous adressons à la maison du Cardinal [...]
[...] — Oh ! vous vous exagérez votre situation. — Ecoutez-moi, et vous verrez que je n'exagère rien. — J'ai été élevée par ma mère ; quant à mon père, je l'ai à peine connu. Ma mère était une excellente femme; elle avait pour moi une affection profonde. Ce ne fut même qu'avec regret [...]
[...] ce ne fut jamais qu'un rêve bientôt oublié.A seize ans, j'avais à peu près terminé toutes mes études, je cessai d'aller à l'école, et ma mère se servit de moi pour lui aider dans le commerce qu'elle exerçait. Nous n'étions pas riches et nous ne devions quelque aisance qu'à un travail persévérant. Ma mère tenait un [...]
[...] de quelque temps, je me sentis profondément blessée. - Je le conçois, dit mistress Clarford ; vous n'étiez pas res ponsable de ce qu'avait fait votre mère. - lci je touche à la partie la plus délicate de mon récit, reprit la jeune fille, car c'est ici que commencent mes mal [...]
[...] du bien, mais je craignais que vos opinions et un préjugé qui n'est que trop répandu... — Ne me rendissent injuste. La fin tragique de votre mère m'avait fait mal, et j'éprouvais pour celle qu'elle avait laissée seule et désespérée en ce monde la plus profonde pitié. [...]
[...] seule, le découragement et la peur s'emparaient de moi. Le désir de faire un exemple terrible pouvait égarer la justice de mon pays.Malheureusement ma mère avait quelquefois mani festé des sympathies cessionnistes. Ces funestes paroles, jointes à sa fatale démarche à la taverne de Surrattsville, l'avaient [...]
[...] sa clémence. Mais je ne pus arriver jusqu'à lui, il refusa de me recevoir. Lormes, prières, rien n'y fit. Je fus obligée de revenir à ma mère qui m'attendait avec angoisse. [...]
[...] tercéder pour nous, j'emploierai aussi les avocats qui ont plaidé ta cause, ils feront ce qu'ils pourront pour t'être utiles. Va, ma pauvre mère adorée, nous ne te laisserons pas mourir ! tu seras conservée à la tendresse de ta fille, tu vivras pour son bonheur. [...]
[...] vait recevoir une exécution immédiate. — Cette sentence inattendue avait consterné tout le monde ; on vous plaignait, on plaignait votre mère. — Elle avait été recommandée à la clémence du président par la commission militaire, et jusqu'au dernier moment je [...]
[...] président. Chaque difficulté que je rencontrais me jetait dans une angoisse inexprimable. Je ne voulus pas me retirer ainsi, sans une dernière tentative pour sauver ma mère ! Je deman dai à parler au général M..., secrétaire particulier du prési dent. Le général consentit de m'accorder quelques minutes [...]
