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[...] noux auprès de son lit, en portant à ses lèvres sa main glacée qu'elle arrosait de larmes. — Oh! ma mère, ma mère, ne maudissez pas votre malheureuse fille ! s'écria-t-elle avec désespoir. Madame Hervier revint peu à peu à elle, et fixant [...]
[...] — Ma mère, pardonnez-moi, car je l'aime... comme vous avez aimé mon père. — Ne profanons pas un tel souvenir. Ton père et [...]
[...] mais Léonce espère bien le fléchir. — Léonce !... — Oui, ma mère, Léonce Raynal. Ne l'aviez. vous pas deviné ? — M. Raynal! s'écria madame Hervier avec un [...]
[...] Tandis que Lucile s'efforçait de cacher sa secrète pensée et sa poignante préoccupation, le regard de sa mère la suivait sans cesse, observant tous ses [...]
[...] lant à elle-même. L'affection que vous portez à ma Lucile est trop honorable pour avoir à se cacher de l'œil d'une mère. — M. Georges ! répéta Lucile, stupéfaite de cette révélation. - [...]
[...] M. Franay ! se dit Lucile en rentrant chez elle. Ainsi, il a compris, il a deviné mon embarras. Et Léonce... oh ! ma mère, ma pauvre mère !... Léonce, tout en se réservant désormais l'emploi de ses journées, avait continué néanmoins à consa [...]
[...] ment du chagrin, c'était du mépris pour l'homme auquel elle avait tout sacrifié, tout, même le repos, la vie peut-être de sa mère; du mépris pour le compagnon obligé de sa vie, pour le père de son enfant. [...]
[...] que un mouvement de haine contre cet enfant, triste fruit d'un amour déjà déçu ; tantôt s'initiant par avance à ce sublime dévouement des mères qui n'existent que par leur enfant; tantôt se résignant à [...]
[...] sur son visage. S'approchant d'elle, il lui dit d'un ton de sollicitude fraternelle : — Votre mère elle-même, si elle pouvait vous parler encore, vous supplirait de modérer votre affliction. En souvenir d'elle, cessez de vous désoler [...]
[...] affliction. En souvenir d'elle, cessez de vous désoler ainsi. - — Ma mère... Oh! je ne veux pas feindre une douleur hypocrite : ce n'est pas sur elle que je pleure en ce mOment... [...]
[...] mais l'enfant était déjà relevé et rentrait chez le concierge demandant son déjeuner. Il n'avait reçu aucune lésion ni fracture, et la mère, en rentrant le soir, eut peine à croire au saut périlleux de son enfant. Qui profitera le plus de la leçon, l'enfant, la mère ou [...]
[...] Léon, en arrivant chez sa mère, avait le cœur joyeux et l'esprit déjà tourmenté. On ne possède pas une merveille sans inquiétude : une belle chose [...]
[...] Léon avait mieux aimé ne point parler de lui du tout; mais quand il entendit sa mère traiter si ou trageusement cet animal extraordinaire, il n'y put pas tenir. [...]
[...] dans son appartement, l'établit bien doucement sur un bon coussin de bergère, et revint se mettre à table auprès de son excellente mère. [...]
[...] Léon était là, elle le caressait pour lui plaire; elle allait quelquefois jusqu'à lui acheter des croqui gnoles : une bonne mère est capable de tout pour son fils ! Il n'en fut pas de même avec Henri. A peine ar [...]
[...] était parvenu, à force d'habitude, à diriger Faraud si bien, qu'il le conduisait où il voulait, même la nuit. Léon, voyant sa mère malade, était allé le soir [...]
[...] beaux esprits de Paris ! Ce discours n'était point de nature à rassurer Léon sur le sort du chien volant. Il revint chez sa mère plus triste qu'avant de s'être rendu chez la fée. Il passa plusieurs semaines dans le décourage [...]
[...] LA GRAND'MÈRE. [...]
[...] taquiner, et surtout pas une belle et jeune mère pour la caresser. Elle était seule, toujours seule à regarder le feu brûler et la lampe noire vaciller. Il [...]
[...] quoi, ayant perdu sa femme à l'âge de vingt ans, et ne pouvant élever lui-même sa fille, il l'avait con fiée à sa grand'mère pendant son absence , et c'est aussi pourquoi la petite Noémi était si malheu TeuS8. - [...]
[...] J'habitais alors avec ma mère une grande ville maritime. Je venais d'avoir dix-sept ans, et ma mère n'en avait pas plus de trente-cinq. Elle s'était mariée fort jeune. Quand mon père mou [...]
[...] par je ne sais quels mouvements incompréhensibles à moi-même, méchants, presque criminels, qui, par moments, se soulevaient en moi.Mais, chose bizarre, ces explosions de la part de ma mère et ces mouvements de la mienne ne coïncidaient point. Ma mère était toujours vêtue de noir, comme dans un deuil [...]
[...] C'est sur moi que ma mère concentrait tous ses soins et toutes ses pensées. Sa vie se confondait avec la mienne. De pareils rap ports entre les parents et les enfants ne sont pas toujours favora [...]
[...] Le mois de juin était arrivé. A cette époque de l'année, la vi que nous habitions, ma mère et moi, s'animait beaucoup. Quan tité de vaisseaux arrivaient au port ; nombre de figures nouvelles paraissaient dans les rues. J'aimais alors à flâner le long du grand [...]
[...] je le lui appris, il s'étonna de nouveau. Puis il me demanda si j'habitais depuis longtemps cette ville, et avec qui. — Avec ma mère, lui dis-je. — Et votre père? — Mon père est mort depuis longtemps. [...]
[...] — Et votre père? — Mon père est mort depuis longtemps. ll voulut connaître le nom de baptême de ma mère, et partit aussitôt d'un éclat de rire forcé et bizarre. Puis il me fit des excuses, disant qu'il avait contracté ces façons-là pendant son [...]
[...] maison pendant mon absence. En effet, j'appris que, une heure avant mon arrivée, un cri terrible avait tout à coup retenti dans la chambre de ma mère, et la servante, accourue à ce cri, l'avait trouvée par terre, évanouie. Au bout de quelques minutes ma mère revint à elle, mais fut obligée de prendre le lit. Elle avait un [...]
[...] d'effroi. - La servante envoya le jardinier chercher un médecin. Celui-ci vint, prescrivit un calmant; mais à lui non plus ma mère ne dit pas un seul mot. Le jardinier prétendait que, peu d'instants après qu'eût retenti le cri jeté par ma mère, il avait vu un homme [...]
[...] mon entrevue avec le baron, mais, je ne sais pourquoi, les pa roles expirèrent sur mes lèvres. Je me décidai pourtant à faire cette observation à ma mère, « que les apparitions de revenants ne se faisaient guère le jour ». - Laisse, murmura-t-elle; ne me tourmente pas maintenant. [...]
[...] Le niveau de l'élégance s'est sensiblement élevé depuis quelques années, c'est vrai, mais les femmes de cœur et les mères de famille doi ||| vent adopter un juste | | | | milieu qui leur per [...]
[...] Oriente-moi vers la Jungfrau, ma mère... Je me figure main tenant tout le panorama ! dit-il. Ah ! je le connais si bien, et je l'aimais tant ! Ici, le Mœnch... l'Eiger... le Wetterhorn. [...]
[...] — Tu sais, disait-il en même temps, tu sais, ma mère, com [...]
[...] une surprise. - • • • Plusieurs fois déjà cette même circonstance s'était présentée. L'aveugle accepta le bras de sa mère, et, d'un air indifférent, se laissa guider par elle. [...]
[...] l'oreille. Pressentait-il le pieux mensonge de sa mère ! Ces visiteurs qu'elle ne voulait pas nommer, qu'elle préten dait attendre... ils étaient là dans un coin du salon, mais im [...]
[...] Il tressaillit tout à coup, il porta la main à son cœur, en s'écriant : - Ma mère !... Ah ! tu ne penses pas ce que tu viens de dire, ma mère !... Ne plus l'aimer ?... Mais tu sais bien que mon amour durera toute la vie !... Toi seule en as reçu la confi [...]
[...] remplit à moitié le verre. Jeanne s'en empara pour le présenter à Bernard. - - — Pauvre mère ! dit-il, comme tu trembles ! Puis, après avoir bu, saisissant la main qui reprenait le Verre : [...]
[...] appris déjà ! - Et comme il semblait étonné : — Ta mère, d'abord ! lui dit celle-ci. — Jeanne n'est pas venue toute seule, ajouta le bonhomme Lefebvre. [...]
[...] qua madame Désaubray; hier soir c'était lui qui m'amenait M. le comte. # — Et je me suis entendu avec madame votre mère, répondit le gentilhomme, et je m'estimerai heureux de vous nommer mon fils... [...]
[...] — N'as-tu pas là quelque chose qui brille ? — Oui! Cette montre avec nos deux chiffres en diamants que m'a donnée ta mère... Et toute rayonnante elle-même, elle les faisait scintiller au soleil. - · · , : [...]
[...] briser le cœur... Mais je la connais, elle ressemble à sa mère... [...]
[...] tomberai sur le chemin... c'est sûr... Quelle croix à porter, doux Jésus !... et nos fiançailles, et tout le bonheur que nous attendions ! Ma mère, ma chère mère, vous ne pouvez pas lais ser partir votre petite Armelle... » Patriarche la releva doucement. [...]
[...] — Oh ! vous êtes bonne, Marthe ! vous êtes bonne comme une mère ! ce que vous me dites me fait du bien ! L'épreuve est rude, mais je suis chrétienne, et mon père est mon père. Patriarche la prit dans ses bras. [...]
[...] jeune homme ; je souhaiterais qu'on m'y ensevelît tout de suite. - — Et ta mère, Aubin, et ton père... — J'ai tort ! dit-il, et il se mit à sangloter. - Écoute, reprit la jeune fille, comme toi je me suis sentie [...]
[...] Armelle semblait se roidir contre sa douleur. Le soleil baissait : elle dit encore à Aubin : « Console notre mère ! prie pour moi ! mets des fleurs sur cette tombe ! » Sa main tremblante se posa sur le front d'Aubin, comme si elle [...]
[...] Elle le posa sur un escabeau, en disant d'une voix calme : « Bonsoir, mon père ! — Et à ta mère tu ne dis rien ? — Bonsoir, madame Daniel, » ajouta Armelle. La Gervaise ne répondit pas. [...]
[...] à tous deux. — Je veux en finir; tu comptes être le mari d'Armelle ? — Ma mère le désire. — Je te le défends. — Je pourrais te répondre que cela ne te regarde pas ! reprit [...]
[...] était déserte, un nuage cachait la lune... Il sentit dans sa poche quelque chose de rude... le couteau qu'Aubin avait acheté pour Sa mère... « Veux-tu? » répéta-t-il. [...]
[...] — Pour aller où ? — Chez le charron : il devait faire arranger une pelle, et puis acheter un couteau pour sa mère. — Est-il sorti seul ? [...]
[...] elle est cachée !... Aubin sauve notre nom de l'infamie ! Aubin nous dédommagera de tout. - — Et s'il allait mourir ? dit la mère. - Il a payé le bonheur assez cher pour en jouir. » Longtemps encore tous deux demeurèrent rapprochés, se for [...]
[...] vient à une jeune fille. — Je l'entends aussi, dit le Weinlich avec un sourire forcé, quoique je ne l'aie jamais vu, car sa bonne grand'mère tenait exactement le même langage. Sur ce point, j'ai toujours eu maille à partir avec elle. [...]
[...] diquait une main féminine. Le billet était de la générale de Wiefland, l'amie intime de feue sa mère. La générale lui disait qu'elle venait d'apprendre, par hasard, de Zwicker, son arrivée à Pilsen ; que puisqu'il était une connais [...]
[...] Quelles effluves de vertu et de piété s'échappent des traits angéliques de cette jeune et jolie... Grand Dieu !... ce n'est pas un prestige, une erreur !... Cette jeune fille, c'est sa mère, au temps de ses beaux jours !... [...]
[...] Hors d'état de maîtriser les larmes qui lui montaient aux yeux, il joignait les mains, et du plus fervent de son âme : - Ma mère ... ma chère mère !... prononça-t-il. Plus il considérait cette toile, plus elle prenait vie. Il se sen tait attiré vers elle, et se reportait pieusement au temps de son [...]
[...] Qui eût pu, en présence de ces mots, de ces élans de cœur, persister à jouer le rôle d'un étranger ! En présence surtout du portrait de sa mère qui, maintenant, souriait doucement à cette scène ? Non, les sentiments de notre ami débordaient. [...]
[...] plissez le vide qu'elle a laissé dans mon affection ; dans ma vénération ; ne me dites jamais que toi : regardez-moi comme votre fils, ma seconde mère !... [...]
[...] ment de ce vœu, elle lui dit, non sans trahir un assez grand embarras : — Puisque tu veux que je remplace ta mère, cher Stéphen, écoute mes conseils. Calme tes inquiétudes, rassure ta con science. Ne te laisse pas influencer, dans ton choix, par cette [...]
[...] ramenaient les excursionnistes. Stephen descendit, et, du seuil de l'hôtel, constata tout d'abord que Séraphita était à présent à côté de sa mère, avec deux autres dames. Il s'avança obligeamment pour lui offrir la main; elle lui [...]
[...] emporté leur petite fille avec lui. Mais elle s'était bientôt convaincue du contraire. — Je voulais, continua la malheureuse mère, par phrases entrecoupées, n'ayant plus en quelque sorte ni larmes ni voix, je voulais m'élancer dans l'incendie ; on m'en a empêchée ! On [...]
[...] reuse et sainte Johanna, vous, on vous écoute ! ce que vous dites on le fait ! Dites-leur de me laisser libre ! Mon Dieu, est-ce qu'on a le droit d'empêcher une mère de tirer son enfant de l'abîme, qu'elle soit morte ou vivante !... [...]
[...] la mère est une Talleyrand-Périgord, a pour aïeul le prince Eu gène de Ligne, président du sénat de Belgique, et pour tante la duchesse de Bisaccia. Elle a été élevée à Paris dans le bel hôtel de [...]
[...] - Rien de tout cela, madame ; je ne suis qu'un simple honnête homme, dont les conseils ont été, parfois, utiles à votre belle mère; ils le seront encore en cette circontance, du moins je l'es pere. - Mon vieil aml, dit la veuve, je vous suis bien reconnais [...]
[...] de faire parler les morts. Cela posé, jè voudrais bien savoir de quel droit vous vous immiscez dans une affaire quine regarde que ma mère et moi ? - Du droit que me donne votre passé, lequel au suspicions sur l'avenir. Vous avez dévoré l'héritage de votre | re [...]
[...] — Ce qui ne m'empêche pas d'offrir à ma mère les garanties qu'elle voudra. — 0h ! oui, et de fameuses encore, parlons-en ! des garanties [...]
[...] repentir ! je vous aime trop pour vous souhaiter du mal. - L'émotion qu'elle s'efforçait de cacher étouffait la pauvre grand'mère. - — Nous nous quittons bons amis? demanda-t-elle d'une voix tremblante. - [...]
[...] personne demandée est parfaitement morte — où, bon gré, malgré force lui est de la faire apparaître. - Une mère se présente. Elle a entendu parler du merveilleux praticien et vient le supplier d'évoquer l'image d'une fille adorée, défunte depuis dix ans. [...]
[...] Eu un tour de main, l'épreuve négative est obtenue. L'œil de de Brichard rayonne en la contemplant. — Pauvre mère, dit-il, que votre fille était belle ! — Vous la voyez, monsieur ? — Comme je vous vois. [...]
[...] Au jour dit, la cliente accourt chez le photographe qui tire, avec une solennité de bon augure, l'épreuve du carton. 0 prodige ! Planant au-dessus de la tendre mère, une pâle image, à moitié voilée, s'offre à ses yeux mouillés de pleurs. — C'est elle ! c'est bien elle ! [...]
[...] un peu fort. Mon Emma l'avait plus petit.... Quant aux yeux, on ne les voit pas. Brichard jette sur la pauvre mère un regard empreint d'une profonde pitié. - — Croyez-vous donc, madame, qu'un pareil changement d'exis [...]
[...] SIROP A LA MÈME BASE AVIS AUX MÈRES DE FAMILLE [...]
[...] Elle m'a mis sous les yeux, elle m'a fait voir en action un des petits faits caractéristiques de l'éducation moderne, une des préoccupations des mères d'aujourd'hui : je dis d'aujourd'hui, car sans doute le cœur maternel ne change pas, mais il change d'ob jets de sollicitude. Les mères de nos jours n'ont pas pour leurs [...]
[...] jets de sollicitude. Les mères de nos jours n'ont pas pour leurs enfants les mêmes désirs, les mêmes craintes, les mêmes ambi tions que les mères d'autrefois. Que Marguerite fût la plus mignonne petite fille de la plage, c'est ce que sa mère, M" Dubreuil, pensait sans le dire, et ce que [...]
[...] grand défaut : elle ne veut pas absolument parler anglais. En vain a-t-on fait venir pour elle une bonne de Londres, en vain sa mère lui parle-t-elle anglais le plus qu'elle peut ; la malicieuse fillette écoute sa mère, écoute sa bonne, les regarde, les com prend, se met à rire ; mais quant à prononcer elle-même un seul [...]
[...] fourre, s'y niche, s'y blottit !... Nous sommes forcés d'emprunter des comparaisons aux petits oiseaux, quand nous voulons peindre un enfant dans les bras de sa mère, d'autant plus que les mères ont un art merveilleux pour faire un nid avec leurs bras. Une fois là toutes deux, côte à côte, les grandes causeries commencent. [...]
[...] d'abord habilement les deux adjectifs qui enchantaient le plus Marguerite. C'était l'adjectif petit et l'adjectif grand. Quand sa mère lui parlait d'un grand... grand arbre de Noël, ou d'un grand... grand ogre, Marguerite ouvrait les yeux, Marguerite ou vrait la bouche, Marguerite étendait les bras, comme si elle avait [...]
[...] — Comme ça ? reprenait-elle en descendant jusqu'à l'ongle. — Encore plus petit !... Et, à mesure que la mère rapetissait l'objet, Marguerite tâchait aussi de se rapetisser !... Elle rapetissait ses yeux en les clignant ; Elle rapetissait sa bouche en la plissant comme un petit o tout [...]
[...] descendant sur le grand champ de manœuvres des mères, sur la plage. La dame anglaise y était déjà avec sa petite fille. M" Du breuil s'installe... ni trop près, ni trop loin, juste à la distance [...]
[...] Marguerite hésitant, M" Dubreuil dépouille sans pitié sa progé niture... au profit de l'étrangère. La progéniture crie bien un peu, mais la mère lui renfonce ses cris en lui en promettant une plus grande. La petite Anglaise demeure tout interdite devant la pelle qu'on lui a mise dans la main ; mais la mère, saluant [...]
[...] — Eh bien ? — La dame veut bien. | - Dubreuil ! Dubreuil !... s'écrie M" Dubreuil, la mère con sent ! la mère consent ! — Tu en es sûre ! dit le père ; c'est bien étonnant de la part [...]
[...] Les préparatifs du départ furent bientôt ache vés. Manoela prit son petit paquet sous son bras, et embrassa sa mère avec un serrement de cœur, en lui disant à demi-voix : — Pourquoi m'éloigner de vous ? [...]
[...] jeunes filles d'à présent sont d'une obstination que rien n'égale... — Si ce n'est la faiblesse des mères, murmura le vieux marin en tournant sur les talons. - [...]
[...] plaisance ? Elle alluma donc sa lampe et ouvrit la porte. - — Merci, mère Josefa, dit Diogo en entrant. Te nez, voilà un beau petit châle de crêpe de Chine qui m'a été donné par le capitaine du navire, sans comp [...]
[...] Josefa, et répondez-moi, je vous en conjure. Elle était bien méchante, n'est-ce pas, cette charmante fille, que toutes les mères vous enviaient? - - Je ne dis pas cela. - Elle aimait à vagabonder, n'est-il pas vrai ? [...]
[...] peut-être plus ? - Les pièces d'or !... répéta Diogo, garder l'ar gent d'autrui? Y pensez-vous, mère Josefa ? - Ces pièces sont si belles ! De l'or du Pérou [...]
[...] temps presse pour vous comme pour moi, nous ne pouvons rester arrêtés plus longtemps ici... Auriez vous l'obligeance de leur dire que la mère de Ma noela redemande sa fille, et renvoie l'argent qui lui a été donné. [...]
[...] tends-tu, petite ? Eh ! Manoela... — Qu'y a-t-il donc ? demanda doña Rosario. — Rien, ma mère; la vieille femme d'hier a regret d'avoir laissé partir sa fille, et elle la ré clame... [...]
[...] — Mais, ma fille, interrompit doña Rosario, ce sont là des prodigalités inexcusables... — Chère mère, dit Teresa d'un ton boudeur, je n'entends plus, je n'écoute plus, je dors... Puisque cela me fait plaisir, qu'il en soit ainsi ! [...]
[...] un oiseau qui sort de sa cage... — Cette petite fée du Pérou avait ensorcelé ma mère, dit doucement Manoela. — Qui sait si la vieille Josefa ne va pas me faire la moue de ce que je te ramène auprès d'elle ? [...]
[...] revenir ?... Diogo était comme un furieux , cette nuit... — Eh bien ! mère Josefa, continua le pêcheur, est-ce que ça ne vous fait pas du bien de revoir Ma noela et de l'embrasser ? Voyons, ouvrez-lui donc vos [...]
[...] geux s'élancèrent dans les flots pour arracher au danger la généreuse artiste qui, faisant un dernier effort, se dirigeait déjà, avec son précieux fardeau, vers le bord, où la mère éplorée ne trouvait p ts assez de paroles pour la remercier. [...]
[...] Ecoutons, pour finir, ce récit très-intéressant de M. Chrysale : Je viens, dit-il, d'assister à une scène affreuse entre une belle-mère et son gendre. Il s'agissait du deuil du beau-père, mort il y a sept mois : la belle-mère voulait que sa fille continuât à porter et à faire [...]
[...] mois : la belle-mère voulait que sa fille continuât à porter et à faire porter à ses enfants le grand deuil, et la saison nouvelle ouvrant avec ses exigences, la mère de famille voulait, avec juste raison, utiliser pour elle et ses enfants tout le demi-deuil, existant toujours dans une maison bien organisée. [...]
[...] pour elle et ses enfants tout le demi-deuil, existant toujours dans une maison bien organisée. Faire entendre raison à une belle-mère, c'est chose très-difficile, on le sait. Celle-là eut l'imprudence de me d mander mon avis : c'était me mettre à une cruelle épreuve. Ces deux femmes, la mère et la tille, [...]
[...] mander d'avance, à l'une ct à l'autre, si elles accepteraient mon arbi trage comme décidant en dernier ressort. La belle-mère hésita, puis finit par consentir, parce qu'elle crut voir, à mon regard, que je serais de son avis. Elle en fut plus tard très-fà chée. J'étais justement ce jour-là très-forte sur la matière. [...]
[...] Il y a deux espèces de deuils . le grand et l'ordinaire. Le grand se partage en trois temps ou époques : la laine, la soie et le petit deuil. On ne porte le grand deuil que pour père, mère, grand-père, grand'mère, beau-père, belle-mère, mari, femme, frère et sœur. . En voici la durée : - [...]
[...] Pour père, mère, beau-père et belle-mère : six mois, c'est-à-dire que pendant les trois derniers mois, les dames peuvent porter ce qu'on appelle le demi-deuil. - | , .. , " [...]
[...] que pendant les trois derniers mois, les dames peuvent porter ce qu'on appelle le demi-deuil. - | , .. , " Pour grand-père et grand'mère : quatre mois et demi. • Pour un mari : un an et six semaines. C'est le plus sérieux et le pius compliqué. - - [...]
[...] le cilice et la discipline de son mari repentant. Elle mourut jeune comme sa cousine. Mme de Sévigné, qui l'appelait une « Mère de l'Église », l'a canonisée dans une lettre émue et charmante : « Il y a » de belles réflexions à faire — dit-elle — sur cette mort cruelle pour [...]
[...] rayonnait, et elle avait aimé Hermann. · Qui était Agathine ? Nul ne le savait au juste, mais elle n'en était Pas moins la beauté la plus renommée de la ville ; la mère d'Her mann avait fait avec son mari un voyage à Paris, quelques années après son mariage, et avait ramené la petite Agathine, âgée de [...]
