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Suchbegriff: Mering

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Les Modes parisiennes20.03.1869
  • Datum
    Samstag, 20. März 1869
  • Erschienen
    Paris
  • Verbreitungsort(e)
    Paris
Anzahl der Treffer: 10
[...] » Quelques mois s'écoulèrent dans des préparatifs relatifs à mon emploi ainsi qu'à mon mariage. Ma mère m'avait rejoint dans ma nouvelle demeure, et ce fut elle qui conduisit Adélaïde à l'autel où je reçus sa foi. [...]
[...] doux et tranquille, plus brillant même qu'elle et moi ne l'avions jamais espéré; je la voyais admirée, ché rie; ma mère me bénissait chaque jôur pour la fille que je lui avais donnée. Mon premier chagrin eut pour objet cette tendre mère. Elle fut atteinte d'une [...]
[...] Adélaïde retrouva cette activité, ce zèle infatigables que nous lui avions vus pendant la maladie de son père; celle de ma mère finit de même. Je la perdis, ô Gustave! j'en ai quelquefois remercié le ciel. Ses der niers moments ont du moins été sereins, les souf [...]
[...] cet instant et adoucirait pour moi les chagrins insépa rables de la vie. Oui, je pouvais les supporter tous avec elle. Ma mère cependant était le génie bienfai sant qui nous protégeait. Nous n'eûmes plus depuis sa perte un seul instant de joie sans mélange. [...]
[...] lorsqu'elle se chargea de sa nièce, une somme d'ar gent ſort modique qui composait tout le patrimoine de Laure.A l'époque du mariage de celle-ci, ma mère, extrêmement gênée par les sacrifices continuels que je lui coûtais et par d'autres circonstances, accepta [...]
[...] chose par la riche madame de Gerville; elle avait même donné à entendre que son intention n'était pas de la réclamer jamais; mais cependant ma mere m'a vait plusieurs fois rappelé cette dette, à laquelle j'es pérais bien faire honneur. Je fus néanmoins fort [...]
[...] m'enlever de jour en jour, et cette réclamation, le comble de la mauvaise foi, laissait planer d'odieux soupçons sur la probité de ma mère; c'était ainsi que madame de Gerville reconnaissait les soins et la ten dresse prodigués à son enfance, l'état brillant qu'on [...]
[...] injuste agression de toute mon énergie. L'exacte jus tice voulait alors que les dépenses que Laure avait occasionnées à ma mère lui fussent sévèrement comp tées; elles le furent. Mes droits étaient clairs et cer tains; mais, plus que tout cela sans doute, j'occupais [...]
[...] leurs que toutes les consolations du bonheur et de l'opulence ont tant de peine à adoucir. Et cet enfant, cet enfant qui devait coûter si cher à sa mère, ne nai · trait que pour la misère et l'opprobre... » — Je puis nous y soustraire tous, dis-je en l'en [...]
[...] » Je m'inquiétais horriblement de l'instant qui ren drait Adélaïde mère; elle s'en effrayait aussi, je le voyais. » — Mon ami, me dit-elle un jour, je suis dans [...]
Les Modes parisiennes18.04.1863
  • Datum
    Samstag, 18. April 1863
  • Erschienen
    Paris
  • Verbreitungsort(e)
    Paris
Anzahl der Treffer: 10
[...] place à côté de la duchesse. Nul ne soupçonna la fraude. L'œil même de la mère y fut trompé. Mais, lorsqu'au lever du jour Constance rejoignit sa nourrice, elle la trouva, comme elle s'y attendait, tout éplorée devant un cadavre [...]
[...] elle une horrible agonie. Elle apprit que le jeune prince, croyant venger sa mère, avait défendu qu'on laissât parvenir jusqu'à lui une seule pétition de sa captive, qu'on lui répétât même une seule des paroles prononcées par elle. A [...]
[...] — Tout le duché est dans l'erreur. Lui-même ignore, la duchesse ignore... mais vous les détrom perez... Elle se croit sa mère... C'est moi... moi!... — Grand Dieu! s'écria Émile involontairement : l'infortunée est folle ! [...]
[...] compassion. Celle qui est devant vous ne doit point être plainte... Je suis la femme du duc Albert : femme d'un duc, mère d'un prince ! — Revenez à vous, je vous en supplie : laissons là ce sujet qui vous attriste; parlons... [...]
[...] malade. Tout cela va cesser. Croyez-en quelqu'un qui fut votre ami : vous ne fûtes point mariée. Vous n'avez jamais été mère. — Mon Dieu ! mon Dieu ! conservez-moi la raison ! s'écria Constance. Je sens qu'elle m'abandonne... Oh ! [...]
[...] propose-t-elle de prendre? # — Je n'en sais rien encore : ce que je sais, c'est que ma mère ne doit pas être privée de sa liberté, de la présence et de l'amour de son fils... Quand je pense, comte de Mansfield, que je l'ai sans cesse [...]
[...] Ce fut une scène déchirante. Ces sentiments d'a mour, qui ne s'éteignent jamais dans le cœur d'une mère, se ranimèrent tout à coup dans celui de Con stance. Elle oublia le prince, et ne vit que le fils, son fils! dont elle avait consenti à se séparer dans [...]
[...] s'accusait, il déplorait l'erreur où il avait été élevé... Soudain il sent que la main qu'il presse se roidit par une contraction violente. Il lève la tête... Sa mère, couverte d'une pâleur mortelle, s'était affaissée sur elle-même, ses traits portaient encore l'expression [...]
[...] Il y a quelques jours, à Salisbury, une certaine mistresse Yarlett, qui relevait de couches, était sortie de chez elle pour aller faire visite à sa mère, placée dans un hospice de la ville. La jeune mère, son en fant dans ses bras, marchait, quand elle fut accostée [...]
[...] ,*, Une bonne grand'mère vit avec sa petite-fille dont elle est la seule gardienne et qu'elle veut bien marier. Ces dames, l'autre jour, causaient entre elles [...]
Les Modes parisiennes16.03.1867
  • Datum
    Samstag, 16. März 1867
  • Erschienen
    Paris
  • Verbreitungsort(e)
    Paris
Anzahl der Treffer: 10
[...] MoDEs. - L'ENFANT DE TRoIs MÈREs (11° partie), par ERNEsT FoUINET. — REvUE DEs MAGAsINs. —VARIÉTÉs. - PETIT CoURRIER. – CHRoNIQUE THÉATRALE. [...]
[...] L'ENFANT DE TR0IS MÈRES. [...]
[...] XI. LES TRoIs MÈREs. [...]
[...] place dans ma mémoire ! Un jour je fus réveillé en sursaut; c'était le matin, à midi plutôt, car j'étais entouré de mes trois mères : on les appelait ainsi, je le répète. Claire chantait, [...]
[...] de moi elle m'embrassait, mais elle paraissait épou vantée alors, et écoutait en faisant signe à mes trois mères de prêter l'oreille comme elle. J'étais enfin assez réveillé pour écouter aussi, et je distinguai un bruit sourd, deux... trois. On ouvrit les [...]
[...] gerai le plus possible. — Non, non; livrez-vous-y au contraire, car je vous écoute avec plaisir et curiosité : ces trois mères m'in téressent vivement. - Elles étaient donc dans ce trouble que vous ne conceviez pas, et que je ne con [...]
[...] paisiblement pour ne me réveiller que dans la nuit, et quel fut, je me le rappelle, mon étonnement quand je me trouvai entouré de mes trois bonnes mères, de ma nourrice et même de M. Uzel, qui récitait alors [...]
[...] moment où se consomma cet acte de violence, que je ne vis qu'indistinctement une de mes trois excellentes mères tomber aux genoux du farouche municipal. Était-ce Blanche? était-ce Claire? était-ce Louise? toutes les trois. Mais qui commença? C'est en vain [...]
[...] brumes infinies de l'horizon de l'Océan. Ainsi, du haut de ces points d'observation, je crois non-seulement voir mes trois mères, ma nourrice, mon bon abbé, mais moi-même au milieu d'eux; oui, je me vois quitter les robes, passer de mon berceau [...]
[...] retrouvera sur un officier tué la ligne suivante : « Il est minuit; la lune brille : j'ai mis en face de moi le portrait de ma mère, parce que demain peut-être je mourrai. » » Le grand poëte de l'Angleterre, Shakspeare, l'âme [...]
Les Modes parisiennes08.01.1870
  • Datum
    Samstag, 08. Januar 1870
  • Erschienen
    Paris
  • Verbreitungsort(e)
    Paris
Anzahl der Treffer: 10
[...] enfants, malades et vieillards, sur des charrettes qu'encombrent les meubles et les ustensiles sauvés du pillage. La mère vient d'envoyer son fils Hermann porter aux fugitifs des provisions et du linge, et le père l'approuve gravement, comme ferait Ulysse [...]
[...] » — En vérité, un esprit divin parle souvent aux bonnes âmes; en sorte qu'elles sentent la détresse qui menace leur pauvre frère. C'est ainsi que ma mère, dans le pressentiment de votre souffrance, m'a remis un paquet pour l'offrir d'abord à l'indigence nue. [...]
[...] C'est ainsi qu'a lieu la première rencontre d'Her mann et de Dorothée. Les hommes du temps d'Ho mère croyaient parfois voir un dieu dans le vagabond qui mendiait à leur porte : « Car les dieux Ouraniens, qui prennent toutes les [...]
[...] raisonne naïvement. Cependant Hermann a pressé doucement le loquet de la porte et il est sorti de la chambre. La mère alors prend la parole, et elle reproche à son mari ses em portements : [...]
[...] Ayant ainsi parlé, elle quitte la chambre et court à la recherche de son fils. Cette bonne mère est la vertu et la tendresse mêmes. Pour la déſinir, je me figure l'expression touchante de la Sara de Rembrandt sur les grands traits ridés d'une [...]
[...] se déroule, peint en quelques touches dignes de Théo crite, dans sa chaude et mûre abondance ; mais la mère n'y trouve pas son fils. Elle le découvre enfin, assis au sommet de la colline, pensif et les yeux en larmes, sous le vieux poirier qui marque la limite des [...]
[...] larmes, sous le vieux poirier qui marque la limite des champs paternels. « Mère, dit-il tout saisi, vous me surprenez. » Elle le questionne avec tendresse, et Hermann lui parle de l'élan patriotique qu'a soulevé en lui le spec [...]
[...] pureté brille ont arrêté l'aveu sur les lèvres du sage Hermann. Quand il lui propose de remplacer auprès de sa mère la fille qu'elle a perdue, Dorothée croit [...]
[...] qu'elle s'oublie elle-même entièrement et se plaise à ne vivre que pour les autres. Car, en vérité, comme mère elle a besoin de toutes les vertus, lorsque l'en fant l'éveille, souffrante, et demande la nourriture à faible femme, et que le souci s'ajoute aux douleurs. [...]
[...] de douleur et d'amour. Mais Dorothée apprend que la maison attendait en elle sa fille et sa reine. Hermann pose sur son front le baiser nuptial, la mère et le père l'embrassent en pleurant, le pasteur détache de la main des vieux époux les anneaux d'alliance et il [...]
Les Modes parisiennes19.12.1868
  • Datum
    Samstag, 19. Dezember 1868
  • Erschienen
    Paris
  • Verbreitungsort(e)
    Paris
Anzahl der Treffer: 10
[...] Brutus était parti. Selon Rosalie, tout était gagné grâce à ce départ, car elle avait encore travaillé à ce qu'elle appelait la conversion de sa mère. — Déjà, disait-elle, je vois bien qu'elle ne résiste plus que pour la forme; la pensée de revoir Brutus [...]
[...] - C'est vrai, répliqua le comte d'un ton dédai gneux; mais ce n'est pas seulement votre silence et celui de votre mère que je veux acheter par cette union, il faut qu'elle m'assure aussi le silence de Brutus, car vous pensez bien que si mon honneur [...]
[...] contenta de répondre : — Songez cependant à ce que je viens de vous dire, et faites tous vos efforts pour obtenir de votre mère un entretien où je lui ferai comprendre l'importance de ce qui nous reste à faire. [...]
[...] des menaces ou des promesses; mais il ne sera pas dit qu'elle et moi aurons été vos victimes. Vous ne verrez point ma mère, ou vous ne la verrez qu'en ma présence. - Nous ne pouvons rapporter toutes les épithètes que [...]
[...] on ignorait complétement ce qu'il était devenu. Le comte écrivit trois ou quatre billets où il disait à Bru tus que sa mère désirait le revoir, et il en chargea autant de domestiques qu'il fit monter à cheval, et qui partirent grand train dans toutes les directions [...]
[...] tions à prendre. Allez la trouver, rassurez-la, car elle a été bien alarmée de votre départ. Je me rends près de votre mère, nous ferons, croyez moi, ce qui sera le plus convenable pour votre bonheur. [...]
[...] titre. Dans l'ivresse de ses nouvelles espérances, il laissa à son père et à sa mère le soin d'arranger sa position comme ils l'entendraient. Il voulut revoir Paméla, il courut au salon; mais elle n'y était pas seule, Hector [...]
[...] de si près. On comprend, du reste, que ce qui avait pu déci der la mère dut encore plus aisément convaincre le fils. C'était un sacrifice à l'honneur de sa mère, il s'y résigna. [...]
[...] Ma grand'mère avait ensorcelé Lison, On voulut brûler ma grand'mère. Pour l'interroger on la mit en prison, [...]
[...] Ma bonne maman, vieux corbeau noir, ô toi Qu'on fit cuire dans la marmite ! Je suis en prison, grand'mère, apporte-moi Du pain, du fromage au plus vite. [...]
Les Modes parisiennes20.08.1864
  • Datum
    Samstag, 20. August 1864
  • Erschienen
    Paris
  • Verbreitungsort(e)
    Paris
Anzahl der Treffer: 10
[...] ---mère vivait encore, mais les arrangements particu liers de sa famille lui permettaient de disposer à son gré de tout ce qu'il possédait. [...]
[...] Reiwardt; il avait une parfaite indépendance, un nom illustré, des amis nombreux, une jolie figure, une mère d'un caractère admirable. Pendant sa minorité, il avait été traité assez sévèrement; sa mère l'avait forcé à l'économie; mais ce joug qui lui pesait une [...]
[...] haute société de Londres, où elle déshonore aujour d'hui quelques hommes appartenant à notre haute aristocratie. Lorsque la mère de Reiwardt question nait M. Eccles sur la conduite du jeune homme confié à ses soins, elle recevait de lui les renseignements les [...]
[...] rable gouverneur. Tout en favorisant les vices du fils, en les exploitant à son profit, il conservait une grande influence sur l'esprit de la mère, et par des lettres ou des conversations empreintes d'une moralité sé vère, il captivait toute sa confiance. Complétement [...]
[...] son œuvre, présentaient l'héritier des Reiwardt sous les couleurs les plus dignes d'admiration et d'amour. C'était une grande joie pour la mère. Chacune de ces dépêches menteuses était relue avec avidité, et la promesse d'un bénéfice ecclésiastique, dont le patro [...]
[...] arrêtée devant la grande grille du parc, et le jeune homme, de retour de son voyage, était dans les bras de sa mère, qui le baignait de ses larmes. Combien elle était heureuse de sa beauté, de sa grâce, de la noblesse de ses manières! son orgueil maternel ne [...]
[...] pagne, dans le château paternel. Reiwardt n'essaya point de résister à cet attrait. Sous les yeux de sa mère, la plus douce intimité s'établit entre lui et sa cousine; et deux mois après son arrivée au château, le mariage des deux jeunes gens était arrêté. [...]
[...] rompit point Reiwardt, et se contenta de lui répondre : — Mais le bénéfice que madame votre mère m'avait promis? — Permettez-moi de vous dire que c'est de moi, [...]
[...] Berkshire; cette transaction confiée aux soins d'un avoué de Londres rendait nécessaire sa présence dans la capitale; il partit promettant à sa mère et à sa cou sine que sous peu de jours elles le reverraient. Ce ne fut pas sans regret qu'il vit atteler la chaise de poste [...]
[...] face de ces joues pâles et de ces amas de billets de banque qui formaient les enjeux, le cœur lui manqua ; il lui sembla un moment que sa mère et sa cousine lui apparaissaient; puis le respect humain vint le sai sir. Il pensa qu'on allait le railler; il eut honte de sa [...]
Les Modes parisiennes18.11.1871
  • Datum
    Samstag, 18. November 1871
  • Erschienen
    Paris
  • Verbreitungsort(e)
    Paris
Anzahl der Treffer: 10
[...] réussir que par le désir de prouver à Mary son amour et sa loyauté. Il n'en était pas de même de la jeune fille, qui, grâce aux encouragements de sa belle-mère, avait conçu des espérances dont la perte l'affecta dou loureusement. [...]
[...] yeux inquiets lurent promptement sur la physionomie de sa belle-mère le peu de succès de la démarche du capitaine. Hélène s'assit à côté de la jeune fille et lui prit [...]
[...] sissement qu'elle éprouva fut si violent qu'elle perdit connaisance; elle aurait roulé sur le parquet si sa belle-mère ne l'eût soutenue dans ses bras. La pauvre enfant fut plusieurs minutes évanouie. Lorsqu'elle reprit ses sens, un torrent de larmes vint [...]
[...] Lorsqu'elle reprit ses sens, un torrent de larmes vint soulager son cœur oppressé. Elle resta couchée une partie de l'après-midi, et supplia sa belle-mère de hà , ter de tout son pouvoir le départ pour les hauts, afin [...]
[...] deux fils, Étéocle et Polynice, que Créon a mis à mort pour s'emparer du trône de Thèbes. » — Conduisez-moi vers Jocaste, votre mère, Antigone. - - » — La voici ! [...]
[...] sures, de lui avoir pris son mari , mais elle trouve que c'est assez de ce sacrifice, elle veut garder son fils. Pauvre cœur de mère, elle en a bien le droit! et pour ne pas jeter dans quelques années cette tête si chère aux chances de la revanche, elle a résolu d'emmener [...]
[...] jeune garçon. A cet âge l'idée de la patrie n'est pas bien enracinée encore. Ils vivront tous les deux, la mère et l'enfant, dans cette libre Amérique qui leur sera une nouvelle patrie plus clémente et plus douce, et tout à l'heure ils vont [...]
[...] élèves l'amour du sol natal, la haine de l'étranger, et dit qu'il n'est pas bien à des fils d'abandonner leur mère malade. En de pareils moments un départ res semble à une désertion. Enfin, il parle d'une façon si haute, si noble et si française, que le fils de Marthe [...]
[...] Ce serait pour lui, fils d'un héros, un vrai déshonneur de se soustraire à l'avenir de la France, quelque me naçant qu'il soit. La pauvre mère, éperdue, consent et dit : Dieu protége mon fils ! — A quoi Daniel ré pond : — Dieu protége la Francel — Et toute la salle [...]
[...] la misère s'était assise, les genoux au menton, sur la cendre du foyer éteint près duquel grelottait la vieille mère; l'on racontait la perte dans les mers du Japon du vaisseau que montait Jean-Marie, cru mort par tout le monde; il a fallu se soumettre à la triste néces [...]
Les Modes parisiennes08.08.1868
  • Datum
    Samstag, 08. August 1868
  • Erschienen
    Paris
  • Verbreitungsort(e)
    Paris
Anzahl der Treffer: 10
[...] lui dit en essayant de dominer son émotion : — Depuis quatre jours, monsieur, je suis folle. Ma mère, la duchesse de N... (on permettra au narrateur [...]
[...] de ne point trahir davantage un secret de famille, car l'histoire qu'il raconte est vraie), ma mère, âgée et infirme, avait engagé ma main à un homme que je ne pouvais aimer. Mes prières furent inutiles : de grands [...]
[...] d'exprimer sa pensée : - Je ne voyais pas le monde, monsieur; on per suadait à ma malheureuse mère qu'il fallait me tenir enfermée; je ne sortais pas, et c'est par hasard que je suis allée à l'Opéra un soir... Cependant, quand je [...]
[...] me sens davantage abîmée dans ma honte. J'aurais dû souffrir ou mourir. Monsieur, oubliez tout : je retourne chez ma mère. - Comme elle se levait, Georges la fit se rasseoir; lui prenant les mains dans les siennes : [...]
[...] commence, que je cultiverai sous l'inspiration de mon amour pour vous, qui grandira peut-être. Retournez chez votre mère : ce soir j'irai lui demander votre main. Un contrat devant notaire ne constitue pas le mariage; vous êtes donc libre. Si dans un mois vous [...]
[...] servitude, Au bout de huit jours, en effet, Georges avait vaincu la mère, gagné par sa véritable noblesse toute la mai son, éloigné le prétendant et fait afficher la publica tion de son mariage avec mademoiselle Angéline de N... [...]
[...] et joyeuse, plus jolie encore que de coutume, celle à qui le solitaire avait donné le nom d'Antoinette, le nom de sa mère, la seule femme qu'il eût aimée jus [...]
[...] cette inaction, de cette obscurité où me retient la fai blesse de mon sexe. Pour vous sauver, Gaston, pour sauver ma mère, je me sentirais surtout un courage, une énergie que je n'aurais pas pour me sauver moi même ! [...]
[...] madame Burnet, où le plus délicat luncheon avait été préparé. Les appartements étaient pleins de fleurs. Il y avait là madame Russell, la belle-mère de M. Maxime Outrey, notre ministre au Japon; miss Thorndeck, belle-sœur du comte de Sartiges, notre ambassadeur [...]
[...] A l'aide de cette brochure et par une méthode parfaitement claire et facile, tout père et mère, tout instituteur, sans même connaître le dessin, peut parfaitement l'enseigner à un enfant. - Priac de la brochaure t 3 francs. [...]
Les Modes parisiennes19.11.1864
  • Datum
    Samstag, 19. November 1864
  • Erschienen
    Paris
  • Verbreitungsort(e)
    Paris
Anzahl der Treffer: 10
[...] pleine de distinction, le père se leva pour me remer cier. — Paul, envoie un baiser à monsieur, dit la mère, et appuyant elle-même sa main délicate sur ses lèvres de corail, elle donna à son fils sa première leçon [...]
[...] Deux années pourtant s'étaient à peine écoulées que la mauvaise destinée commença à me frapper. Je perdis mon père; restée veuve, ma mère, jeune et riche, vit sa main recherchée par un grand nombre de prétendants. Aucun ne fut écouté. [...]
[...] maternelle si passionnée que je dus une partie de mes maux? Concentrant en moi tout l'amour qu'elle avait eu pour son époux, ma mère m'entoura de ces soins délicats, de ces prévenances ingénieuses dont les femmes seules ont le secret, et qui ouvrent l'âme [...]
[...] mon esprit ou aguerrir mon corps contre les maux qui sont le partage de l'humanité, était éloigné de moi. Ma mère aurait regardé comme un crime d'as sombrir mes pensées ou d'attrister mon cœur par le récit d'une souffrance ou d'une action répréhensible. [...]
[...] qu'au bien, au bonheur, à la vérité. Tous les hommes étaient bons et sincères, toutes les femmes savaient aimer comme aimait ma mère. . - Ce fut à peu près vers cette époque que nous quit [...]
[...] tâmes l'Amérique. La santé de ma mère, altérée de puis longtemps, commença à donner de sérieuses in quiétudes. Les médecins conseillèrent un changement [...]
[...] choses que je voyais habituellement me causait un sentiment de frayeur. Je connaissais trop la faiblesse du cœur de ma mère pour lui laisser voir l'état de mon âme; elle n'aurait [...]
[...] Nous arrivâmes à Paris vers le commencement du printemps. Après y être restés à peine le temps né cessaire pour visiter toutes ses merveilles, ma mère, que la chaleur, le tumulte, le bruit de la ville fati guaient, désira aller passer à la campagne les der [...]
[...] ma chère patrie. Paris m'étouffait, j'y mourais, je croyais alors qu'on ne pouvait pas souffrir davantage. Ne pouvant, à cause de l'état de santé de ma mère, nous éloigner beaucoup de la capitale, il nous fallut trouver dans ses environs une habitation à notre cou [...]
[...] aurait été gagnée par la veuve D..., ménagère de Wazemmes, qui soutient sa sœur, veuve comme elle, et mère de cinq enfants. [...]
Les Modes parisiennes21.01.1865
  • Datum
    Samstag, 21. Januar 1865
  • Erschienen
    Paris
  • Verbreitungsort(e)
    Paris
Anzahl der Treffer: 10
[...] — Ah ! s'écria-t-il en souriant, cette diablesse de mère Huet me fait décidément concurrence; au reste , ajouta-t-il, je n'en suis pas fâché, une si digne femme ! [...]
[...] femme ! — Vous la connaissez donc? — Qui est-ce qui ne connaît pas la mère Huet à Elbeuf ? - — Je gage, lui dis-je, à l'intérêt que vous lui por [...]
[...] — Pardon, excuse, madame, les vivandières, c'est un autre calibre; non que je veuille en dire du mal , mais la mère Huet, voyez-vous, quelle femme ! quelle histoire ! - — Vous excitez ma curiosité, père Josué. Contez [...]
[...] n'y a que la bonne femme pour dire ces affaires-là. — Mais comment arriver à gagner la confiance de votre mère Huet?dis-je; elle ne me connaît pas. — Bah! reprit l'aubergiste en souriant, qui dit femme, dit jaseuse; avec une petite flatterie, vous en [...]
[...] sière me ſit-elle en passant un grand salut rempli de bienveillance. - · — Bonjour, mère Huet, lui dis-je. [...]
[...] gâteaux du bon Dieu que vous donnez à vos frian dises? - La mère Huet fixa ses petits yeux vifs sur moi, et, avec ce sourire fin que j'avais déjà remarqué : - Allons, vous êtes malicieuse tout de même, [...]
[...] besoin de vous en dire aussi long sur une pauvre vieille comme moi ! . - — Josué m'a dit beaucoup de bien de vous, mère Huet, voilà pourquoi j'ai désiré faire votre connais SanCe. [...]
[...] de la maison : si vous voulez m'honorer d'y entrer... J'acceptai la proposition avec empressement. L'habitation de la mère Huet était, comme toutes celles du pittoresque village d'Oissel, creusée dans une des roches qui côtoient la Seine, et sont séparées [...]
[...] me rafraîchir; nous trinquâmes avec d'excellent cidre dans deux gobelets d'argent. — Au succès des gâteaux du bon Dieu, mère Huell dis-je. — Grâce à lui, ça ne leur a pas manqué jusqu'au [...]
[...] tablier... Dans ce moment-là, ce n'était pas la vue du pain qui les réjouissait, c'était bien celle de leur mère... Ce que c'est que de nous, madame ! Vous ne crci riez pas que cette caresse me fit pendant un moment [...]
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