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[...] sères et presque mis à son niveau, le suivait partout, s'amusait ou du moins semblait s'amuser avec lui ; enfin l'entourait de ces attentions qu'aurait une mère tendre. — Il porte la sollicitude, a dit M. Ordinaire, jusqu'à se lever toutes les nuits, à la même heure, [...]
[...] ral Baraguey-d'Hilliers, compagnon d'armes et de so ciété du colonel Foy; madame Foy venait assez sou vent chez ma belle-mère, madame de Meulan; elle nous racontait l'Espagne, la guerre, l'armée française, les guerillas espagnoles, ses propres aventures dans [...]
[...] les devoirs et les convenances de sa situation de veuve du général Foy et mère de ses enfants; en juin 1832, lors des obsèques du général Lamarque, quelques uns des meneurs du mouvement révolutionnaire tenté [...]
[...] mémoire et ne l'aurez pas oublié.Votre Majesté ne se souvient-elle pas qu'ayant l'honneur de jouer avec · vous au colin-maillart, chez ma grand'mère, vous me mîtes votre cordon bleu sur le dos pour vous mieux cacher au colin-maillart, et que, lorsque après le jeu je [...]
[...] » Ce fut dans cette visite de son frère que nous ap prîmes la destinée de ce jeune homme attendu avec tant de constance, et si tendrement aimé de sa mère qu'elle refusait de croire aux preuves les plus irrécu sables de sa mort. [...]
[...] c'était un jeune homme rempli de talent, et qui an nonçait une haute capacité. Il aimait aussi tendre ment sa mère qu'il en était aimé. Aux yeux de celle qui lui avait donné le jour, il n'avait qu'un seul dé faut, il méprisait tous les dangers dans la même pro [...]
[...] qui lui avait donné le jour, il n'avait qu'un seul dé faut, il méprisait tous les dangers dans la même pro portion que sa mère les redoutait pour lui. Peut-être ce mépris lui venait-il du soin exagéré avec lequel on les éloignait tous de lui. Mais cette bravoure lui [...]
[...] combien ce voyage était pénible à cause de la diffi culté des chemins et de la rareté des gîtes conforta bles, voulait y aller sans sa mère. Celle-ci, qui avait tremblé pour son fils à cause des brigands italiens, et qui redoutait encore plus ceux de la Sicile, ne voulait [...]
[...] nuit, elle se relevait fréquemment pour étudier le ciel et saisir le bruit des flots. Pour cette pauvre mère, le moindre vent était l'aquilon; mais elle ne pouvait reposer en paix; les brigands siciliens et la bouillante audace de son fils devaient lui être plus [...]
[...] bouillante audace de son fils devaient lui être plus funestes que les vagues de la mer. » Edward n'avait pas quitté sa mère sans regrets ; il était impossible qu'il ne l'aimât pas, mais il avait éprouvé une certaine joie d'être libre, de pouvoir, [...]
[...] il était impossible qu'il ne l'aimât pas, mais il avait éprouvé une certaine joie d'être libre, de pouvoir, sans causer à sa mère des crises nerveuses et des convulsions, s'avancer au bord des précipices et en mesurer la profondeur, en plongeant jusqu'au fond un [...]
[...] compagnon était épouvanté d'un courage aussi témé raire, et il regrettait de s'être porté pour ainsi dire caution du jeune imprudent auprès de sa mère. Ce pendant leur excursion touchait à son terme, et ils n'avaient éprouvé aucun accident. [...]
[...] » Après lui avoir rendu les derniers devoirs, il visita les papiers et trouva une lettre qu'Edward avait écrite à sa mère la veille de sa mort; il ne voulut pas être témoin de sa douleur en venant lui annoncer la triste nouvelle. En attendant qu'il pût écrire, il jeta [...]
[...] triste nouvelle. En attendant qu'il pût écrire, il jeta cette lettre à la poste; le jeune homme, qui désirait se trouver libre plus longtemps, mandait à sa mère d'aller l'attendre au mont Cassin, que dans quelque temps il reviendrait la joindre. Elle partit sur-le [...]
[...] la richesse; elle était habituée à satisfaire ses mille petites fantaisies de jeune fille, à vivre sous l'aile d'une mère dont la bonté savait rendre tous les de voirs faciles, et elle se trouvait tout à coup réduite à la gêne, isolée depuis le matin jusqu'à l'heure où son [...]
[...] moindres observations de ceux qui l'occupaient. Habi tuée à commander avec bonté aux domestiques de sa mère, elle ne pouvait se faire au langage tout nouveau pour elle des dames pour qui elle travaillait; aussi gagnait-elle fort peu de chose et tomba-t-elle bientôt [...]
[...] amitié s'était établie entre les deux jeunes gens sous les yeux de madame Vernon. Léon avait depuis long temps perdu sa mère. La faillite de Beaunoir père avait tout brisé; il ne pouvait plus être question de mariage entre la fille du [...]
[...] ruine, dès lors désintéressé, affectant la plus grande pureté, était une douce chose pour cette pauvre enfant qui n'avait plus de mère, plus de frère, qui vivait presque seule, et dont le père, absorbé par ses chagrins, ouvrait rarement son âme aux douces émo [...]
[...] rold, qu'il avait écoutées avec bonheur à l'Opéra. Louise n'était pas une grande musicienne, un de ces prodiges comparés alors à Thalberg par des mères vaniteuses ou adroites en quête d'un mari, une de ces jeunes filles présentées comme des génies hors ligne, [...]
[...] elle était seule, comme d'autres lisent, dessinent, se parent, ou sommeillent en respirant des fleurs. La ruine venue, et après la mort de sa mère, Louise avait un jour éprouvé un affreux serrement de cœur en voyant des commissionnaires emporter son piano, [...]
[...] Rien de plus curieux que les scènes qui résultent d'une telle situation. — Eh l dis donc, la petite mère, combien ta barbue? — Cinq francs. — Trop cher ! beaucoup trop cher ! Si tu veux me la passer à quatre, je te flanquerai une [...]
[...] dée, il fallut m'occuper de la distribution des rôles, carrière nouvelle, carrière immense de difficultés ! Pour le premier personnage (celui de la mère rivale), je songeai naturellement à une actrice dont le talent a charmé déjà trois générations successives. Je compo [...]
[...] me répondit d'un petit ton fort sec : — Dieu merci, monsieur, je ne suis pas encore ré duite à jouer les rôles de mère!... En effet, elle n'avait alors que quarante-huit ans. Profondément affligé de ce refus, je tournai mes [...]
[...] j'apercevais à l'œil les battements de mon cœur. Mais la veille, la veille que n'éprouvai je pas quand je lus en gros caractères sur les murailles : Demain, la Mère rivale, comédie en trois actes, en vers. Un frémisse ment nerveux me parcourut tout entier. [...]
[...] Je tirai ma montre aussitôt, neuf heures dix mi nutes !... J'avais donc vécu une heure en dix minutes ! Le succès de la Mère rivale ne fut pas contesté, et je reçus dans le foyer intérieur les félicitations de tous les hommes distingués qui le fréquentaient alors. De [...]
[...] honnête ouvrier de Grenade.A dix ans, il resta sans père ni mère, et ne sachant à qui s'adresser pour avoir un lit et du pain. Déjà l'on parlait de l'envoyer dans une maison où l'on élevait par charité les enfants [...]
[...] triomphes les dames souveraines de leurs pensées. La petite pièce de cent sous arrachée à l'attendrissement d'une grand'mère, celle qu'un mouvement de fierté a fait sortir de la bourse du père, sont sacrifiées aux préparatifs de la fête. Ces galants enfants ont peut [...]
[...] spacieux. A l'entour, sur d'étroites banquettes, les danseuses étaient assises à l'ombre du chapeau de leurs mères; au milieu une masse compacte d'hommes noirs, en pantalons blancs, laissait circuler avec peine les jeunes commissaires qui avaient la charge [...]
[...] et les bijoux de leurs corbeilles de noces, parlaient haut, riaient plus haut encore en se disputant à l'envi quelques admirateurs. Enfin les respectables mères de famille évaluaient les toilettes et les vertus, comp taient les dots des danseurs, faisaient part à leurs [...]
[...] roraison avec la voix tonnante du prophète : « Malheur ! trois fois malheur à ce siècle d'iniquité dans lequel on voit une mère conduire elle-même sa fille aux écoles de Satan , dans lequel on voit une jeune chrétienne, désespérée de compter vingt-trois [...]
[...] maître. J'en détache deux qui forment un saisissant COntraste. Voici d'abord l'idéal de l'épouse et de la mère : « Elle n'a jamais su si elle était belle, et elle l'est [...]
[...] nos grandes dames sont copiées avec l'élégance qui accorde aux petites filles une partie de la coquetterie de leurs mères, en donnant à chaque création le laisser-aller qui convient à cet âge ! Parmi les plus jolies nouveautés, nous avons re [...]
[...] Toilette de la mère. — Costume composé d'une robe montante en pékin de soie blanc et rose avec jupe de dessus garnie d'un haut plissé surmonté par une va [...]
[...] taient de sa jolie bouche, tout son mérite se résumait dans sa beauté plastique. Peu fortunée, elle avait été recueillie par une vieille sœur de sa mère, qui était incapable par elle-même de perfectionner une éduca tion manquée. [...]
[...] — Bonne mère, nous avons recours à votre obli geance et à votre art pour guérir nos infirmités; si vous réussissez, je vous promets une récompense [...]
[...] la vertu était souveraine pour guérir les effets de la foudre. Le secret de cette composition lui avait été confié par sa grand'mère à son lit de mort. Ce remède était infaillible et prompt... Après avoir soufflé sur la fiole pour en détacher la [...]
[...] s'instruit en voyageant ! •"« Sceaux fut aussi l'asile de Florian, l'auteur de la Bonne mère, un succès de l'Odéon. Il y mourut en 1794, âgé de trente-neuf ans. Son corps repose près de l'église. Le monument est [...]
[...] rapport de la coupe et de l'élégance. Les robes des petites filles de dix à douze ans sont très-souvent la copie exacte de celles de leurs mères. Les corsages seuls diffèrent. On les dispose toujours de manière à être accompagnés d'une chemisette [...]
[...] les indiquer en même temps aux mères de famille qui font exécuter chez elles des toilettes d'enfants. La petite forme Paméla, que les modistes font pa [...]
[...] riations sur les morceaux les plus applaudis des opé ras en vogue, le tout pour le plus grand bonheur des mères de famille et pour sa gloire, ainsi que pour celle des demoiselles bien élevées. Pour finir, empruntons un mot à Théodore Bar [...]
[...] d'amitié avec M. Empis, et fut le col'aborateur de quelques-unes de ses meilleures comédies. Ils firent jouer ensemble : la Mère et la Fille (1830), la Dame et la Demoiselle (1830), Un changement de ministère (1831), et Une liaison (1834). — La froideur de l'ac [...]
[...] salons des Frères-Provençaux; » Je veux partir le lendemain pour Fontainebleau. » — Ton futur veut bien des choses, dit la mère lorsque le joli homme eut levé la séance. » Laissez-le dire, répondit la jeune fille avec un fin [...]
[...] A l'aide de cette brochure et par une méthode parfaitement claire et facile, tout père et mère, tout instituteur, sans même connaître le dessin, peut parfaitement l'enseigner à un enfant. Prix de la brochaure r 3 francs. [...]
[...] de sa naissance, sans l'appeler votre fils? — Oui, mon ami... J'en avais fait le serment solen nel sur la tombe de sa pauvre mère. Ce supplice, au quel je m'étais volontairement condamné, a été pour moi une cruelle expiation. [...]
[...] de son noble caractère et de l'élévation de ses senti ments. Mais le vœu que j'avais fait sur la tombe de sa pauvre mère était un engagement sacré que je ne pou vais enfreindre. Il me rappelait sans cesse que je n'avais pas le droit de jouir d'un bonheur dont mon indigne [...]
[...] rée les pousse au large, ils vont échouer sur un écueil habité par des mouettes. Les mères, éplorées, se sont rassemblées sur la plage du petit port et montrent le poing à la mer qui a emporté leurs enfants. [...]
[...] Toilette de la mère. — En pou-de-soie violet évéque ornée de larges bandes de velours d'une teinte plus foncée. Jupe, demi-traîne, garnie de deux bandes de [...]
[...] — Par pitié, monsieur, reprit doucement Louise en se levant à son tour, laissez-moi embrasser mon en fant. Vous avez abandonné la mère aux tortures de la faim, vous avez rêvé pour elle peut-être le déshon neur; faites que j'oublie tout cela dans une caresse de [...]
[...] tout à l'heure, est réellement présent à votre esprit, cherchez-y donc une pensée de générosité et de jus tice.Après avoir trahi la jeune fille, respectez la mère dont la vie honorable n'a commencé que du jour où elle a été l'épouse de celui qui l'a relevée mourante [...]
[...] bras son enfant étonné. Les douleurs souffertes, la honte de cette lutte in digne, le martyre si long de la pauvre mère, tout avait disparu; la joie tant rêvée, goûtée enfin, l'eni vrait, la transportait. Elle mouillait de ses larmes de [...]
[...] qui le rendait ridicule aux yeux de la femme qu'il avait voulu conquérir, et il regardait avec froideur, avec indifférence, cette mère qui caressait son enfant. Le bonheur de Louise était ardent, passionné; il fut bien court. [...]
[...] vous me faites mal ! Et il s'enfuit rapidement. Les deux bras de la pauvre mère retombèrent, son visage se couvrit d'une subite pâleur, elle chancela et s'assit. [...]
[...] s'assit. - Oh! mon Dieu, dit-elle d'un ton de douleur na vrante, les caresses de sa mère lui font mal ! Et elle pleurait amèrement. Jérôme entendit ces paroles et eut un mouvement [...]
[...] cette ardente soif de richesse qui ne regarde pas aux moyens, peut-être par la satiété; mais empêcher une mère d'embrasser son enfant, mais de ce baiser ma ternel faire une condition d'adultère, mais repousser la prière d'une femme que l'on a trompée, quand cette [...]
[...] resses, s'enfuyant de ses bras, pesaient à son pauvre cœur déchiré, d'un poids affreux. De nouveau, elle se demandait s'il y a un lien réel entre la mère et l'enfant qu'elle n'a pas élevé; si Dieu a mis un senti ment instinctif d'amour au cœur du fils, et elle doutait [...]
[...] deux êtres une chaîne de quelque force, lorque Léon, après avoir voulu s'en faire un moyen de corruption, ne savait plus que prodiguer des injures à la mère. La pensée de la malheureuse s'égarait dans ce dédale sans issue, se perdait dans cet abîme dont elle son [...]
[...] un appui dans la vigueur des jeunes gens et les petits enfants tombaient en partage à une foule de secondes mères, satisfaites jusqu'aux larmes de leur lot béni. Chaque jour se reproduisait le même spectacle de dou leur et de bienfaisance. Avoir un Grec logé dans sa [...]
[...] le Turc. - - Depuis dix-huit mois, depuis que les Turcs ont tué mon père, ma mère, mes six neveux; depuis qu'ils ont incendié mes champs, ravagé mes vignes et fait esclaves ma femme Catinka et ma fille Minerve, qui [...]
[...] du lattakié le plus fin et le plus doré. — Je ne puis te rendre, reprit le Turc, ni ton père, ni ta mère, ni tes six neveux ; mais veux-tu revoir ta femme et ta ſille? — Est-ce que cela se demande? répondit le Grec, [...]
[...] Tous les Grecs dont les frères et les amis mouraient pour la cause de la religion et de la liberté, toutes les mères désolées de l'absence de quelque enfant chéri, toutes les jeunes femmes dont les maris échangeaient des balles mortelles sur les rochers de la Romanie [...]
[...] caractère et la magnificence de sa vieillesse, prit la jeune Minerve dans ses bras émus et demanda à Dieu de faire pour toutes les mères réunies dans la cha pelle ce qu'il lui avait plu de faire pour celle dont il tenait l'enfant : de leur rendre leurs fils ou leurs filles, [...]
[...] expression de mélancolique rêverie. La personne qui se trouvait à côté de la jeune fille était sa belle-mère, mistress Hélène Davystone; au pre mier abord on n'aurait certainement donné à cette dernière que vingt-cinq à vingt-six ans, quoiqu'elle [...]
[...] Malheureusement pour les jeunes gens, le mouve ment que Mary venait de faire avait attiré l'attention de sa belle-mère sur le jeune capitaine. Madame Davystone tressaillit à son tour, et laissa paraître une vive émotion. [...]
[...] la rencontre qu'il venait de faire de M. Léon Duport. A ce nom, Mary ne put retenir un mouvement que surprit le regard perçant de sa belle-mère. — Quel est ce M. Duport? demanda celle-ci avec une négligence affectée. [...]
[...] — Pourquoi donc? — Sais-tu que Mary possédera un jour une très grande fortune... Elle a déjà, du côté de sa mère, plus de sept cent mille rupees, dont elle touchera elle-même les revenus à partir du 1er juin de l'année [...]
[...] prochaine; puis cent soixante mille autres, dont j'ai la jouissance, et qui lui reviendront à ma mort; enfin la sœur de sa mère, madame de Landster, n'a pas d'enfant et doit laisser toute sa fortune à Mary. Un jour venant réunira dix ou douze lacs de rupees, on [...]
