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[...] culaire de M. Duruy. Les journaux de Madrid rendent comptent de l'arrivée de la reine-mère Marie-Christine, et constatent la grande cordialité qui a présidé à l'entrevue des deux reines après une si longue séparation. [...]
[...] que, ou du moins n'en écartait l'odieux jusqu'au dénoû ment. Chez nos deux mères, le sentiment le plus respectable de tous s'est exalté, on le sent, par une émulation de vieille date. Contemporaines, voisines, nées et grandies [...]
[...] la vague qui se hâte lentement, sûre de devorer bientôt sa proie. Ln matin, ma mère entra chez moi ; depuis six se maines que durait mon abattement, rien n'avait pu re veiller mon énergie si cruellement eprouvee ; ma mère, [...]
[...] — Je tenais à mes bijoux, mais je tiens plus encore à ton bonheur. Je les ai vendus. — Oh! mère, mere ! fis-je sans pouvoir" parler et le cœur plein de sanglots. Je savais, en eflet, quelle superstitieuse affection ma [...]
[...] cœur plein de sanglots. Je savais, en eflet, quelle superstitieuse affection ma mère attachat à quelques pierres precieuses qu'elle avait Jusque-là sauvees de notre naufrage, et qui toutes etaient les dons de quelque main chere, les souvenirs de quel [...]
[...] me semblait que cet or pleurait. Soudain, je me relevai, je serrai passionnément ma mère dans mes bras, et l'embrassant avec ivresse, Je lui dis : — Je sais maintenant ce qu'il est de mon devoir de [...]
[...] — Mère, lui dis-je, la première des gloires et des am- | « fruits doux au cœur et bons à l'âme; si le monde ne [...]
[...] bitions pour un fils, c'est de faire vivre sa mère et de [...]
[...] - //= - - FAC-SIMILE DU PORTRAlT DE S. A. R. LA JEUNE PRINCESSE MARGUERITE DE PARME. Dessiné par sa mère, S. A. R feu la duchesse de Parme. EME E L L IS S E ME N T du Quartier [...]
[...] désirable, permet d'administrer, au centre de Paris, des bains de Vichy, de Condillac, de Plombières, des eaux-mères de Salins, de Kreutznach, enfin de toutes les eaux miné rales connues en Europe. [...]
[...] théâtre on appelle la ferblanterie. Cette nºte a nécessairement fait naître d'a mères grimaces; elle a été suivie de plus d'ap [...]
[...] Ah ! madame, cette petite bague est la seule chose au monde dont je ne puisse me séparer... elle me vient de ma mère... et cette mélodie... [...]
[...] Ne porte pas le nom de votre mère qui se | nomme IIenriette, M. llenri. Vous ne voulez pas me répondre ? Eh bien, je vais parler pour [...]
[...] Et comme je gardais le silence — les grandes émo tions ne sont pas bavardes. — Oh ! la petite bête, fit ma mère, je parie qu'elle ne les trouve pas bonnes. Pas bonnes !... [...]
[...] décemment une assiette, que tombaient dru comme grêle les instructions. — Je ne ferai jamais rien de vous, dit ma mère, furieuse de n'avoir pu apprendre à Jeannette à parler à la troisième personne. [...]
[...] second. Je sentis que j'étais perdue... Ma mère, avec son plus aimable sourire, disait à son voisin, le président du tribunal : — Je vais, cher monsieur, vous faire goûter une gelée dont vous me [...]
[...] Rouge d'orgueil, ma mère, d'un geste solennel dé couvrit le compotier et elle allait l'offrir au président, quand soudain son regard tombant sur sa confiture, [...]
[...] à passer : — Maman ?fis-je. — Eh bien, dit ma mère d'une voix brève, que veux-tu ? — Je voudrais... [...]
[...] — Bravo, fit le docteur... Et que fit madame votre mère ? — Ah ! dame, fit la charmante femme en rougissant un peu, elle fit ce que font les mamans en pareille [...]
[...] — M. Cadol vient de faire paraitre une étude très-origi nale, la Béte noire. C'est l'éternelle lutte entre la belle-mère et le gendre, mais prise cette fois à l'inverse. La bête noire, c'est le gendre, pour la belle-mère, le beau-père et toute la fa [...]
[...] et comptant d'ailleurs sur l'appui de son frère, alors lieutenant de chasseurs d'Afrique, et qui de vait bientôt passer un congé avec sa mère et sa SCDur. Vers ce temps là m'arriva le plus fâcheux bon [...]
[...] — Ah ! encore!... dit mon père. Donne-moi du vin. — Puis se tOurnant vers ma mère : — Décidément, dit-il, tu aurais dû mettre plus de poivre dans ce pâté. [...]
[...] dans l'arrondissement, qui auront de plus beaux yeux et une plus belle dot. — De plus, dit ma mère, M"° Gorgeril est une sotte qui m'a fait un afl'ront que je ne lui pardon [...]
[...] En effet, dès le soir même, j'annonçai à Juliette que Mme Gorgeril recevrait, dès le lendemain, la visite officielle de ma mère. Naturellement, les dispositions de la veuve avaient été changées en un instant par la nouvelle [...]
[...] quiétude de la réponse que nous devions recevoir. Je nageais dans la joie en attendant le retour de ma mère. Aussitôt qu'elle parut, je me précipitai au de vant d'elle. [...]
[...] main, vers quatre heures de l'après-midi. Je parus fort désappointé. — Mais, ajouta ma compatissante mère, pour te faire prendre patience, elle a daigné accepter l'in vitation à diner que je lui ai faite pour demain. [...]
[...] — Bien ! bien ! dit-elle. Voila pour Juliette. Mais n'y a-t-il rien pour moi ? — Oh ! toi, tu es une mère adorable, et la voûte céleste n'a jamais rien vu qu'on puisse te com parer. - [...]
[...] sourde, la compagnie de hallebardiers ; Théodore de Bèze et les Génevois montant à là cathédrale de Saint-Pierre ; la mère Royaume sur son âme, pré cédée de sa marmite. La mère Royaume était une femme du peuple qui assomma un soldat du duc [...]
[...] liè, 4 fr. 50. Ouvrages de M"° de Will, née Guizot : LEs PETITs EN , FANTs., 1 vol.-CONTEs D'UNE MÈRE, 1 vol.—UNE FAMILLE A LA CAMPAGNE, 1 vol. - UNE FAMILLE A PARIs, 1 vol. — PRoME NADEs D'UNE MÈRE, 1 vol. — HÉLÈNE ET sEs AMIEs, 1. vol. [...]
[...] lié, 4 fr. 50. - PREMIER LIvRE DE L'ENFANCE : Lecture et Ecriture illus trées, simples leçons d'une mère à ses enfants, par M" Amable Tastu. Grand in-8°. Percaline anglaise do rée, 4 fr. 50. [...]
[...] d'Ésope, ad usum parvulorum , elle n'était même pas si gnée. O gloire ! Eh bien! j'ai dit plus haut que l'or de ma mère me pa raissait pleurer; il me sembla que cette fois je voyais le mien sourire ! - [...]
[...] cle restreint où j'enfermais mes pensées. Aussi fus-je vivement peiné, et même un peu froissé, lorsqu'un jour ma mère me dit, dans une de ces cause ries confidentielles qui composaient un de nos grands bonheurs : [...]
[...] l'aime pas. Cette découverte me serra le cœur, et je pensai que ma mère reconnaitrait elle-même que cette répugnance de sa part était sans cause, et, bonne et juste comme je la connaissais, je ne doutai pas qu'elle ne fit tous ses [...]
[...] quelque temps au fond de mon cœur. — Qu'est-ce donc ? fis-je, surpris et charmé de l'air souriant de ma mère. - Un complot infernal, dit Emmanuel avec cet air goguenard, au moyen duquel il cachait quelquefois la [...]
[...] goguenard, au moyen duquel il cachait quelquefois la vérité sous la raillerie. - Depuis longtemps, cher enfant, reprit ma mère, je me demandais si ce bonheur si grand que je ressens à t'avoir tout à moi, n'était pas entaché d'égoïsme, et si, [...]
[...] n'est pas bien amusante, ajouta-t-elle en mettant une nuance de coquetterie dans sa voix. · — Oh ! mère, lui dis-je avec élan, pourquoi crains-tu que je puisse m'ennuyer avec toi ? Et pourquoi voudrais [...]
[...] — Quelle objection peux-tu faire au projet d'Emma nuel ? — Mère, je ne sais, lui dis-je; je suis loin d'avoir de sots prejugés, et je ne crois pas que l'homme ruiné ait dû perdre de sa valeur personnelle par le seul effet de [...]
[...] Emmanuel fut exact au rendez-vous, et vint me prendre à huit heures. Ma mere m'embrassa, quand nous partimes, avec plus d'effusion qu'à l'ordinaire; c'était, depuis la mort de mon père, la premiere soirée que j'allais passer loin d'elle ; [...]
[...] ètre encore, qui sait ? pressentait-elle, tremblait-elle, craignait-elle, comme craignent, comme tremblent, comme pressentent souvent les mères, sans causes et sans raisons apparentes. Une fois dans la rue, Emmanuel congedia son coupé [...]
[...] que l'une de ces jeunes fil les en est à son second ma ri, qu'elle est la belle-mère de l'autre, qui la croit sa rivale. Ce bizarre imbroglio [...]
[...] des pays civilisés. — Emmener Lisette! O ciel! est-ce possible ? et qu'allons-nous devenir ? s'ecriaient le père et la mère de Benjamin. Le petit Benjamin se taisait; il cherchait en vain à [...]
[...] - Et quand partez-vous ? demanda le père Benjamin quand il se fut un peu remis de sa vive émotion. - Nous partons dans trois jours, reprit la mère : on vient nous pren re, et soyez en repos, monsieur Ben,a mºn, sur nos destinees; la demoiselle ici présente est [...]
[...] d'un rien elle était contente ; elle avait si bien le grand art de rejouir le petit Benjamin, ce beau ténebreux ! Et déjà le père et la mère s'inquiétaient de leur enfant. Quoi donc, le voilà tout seul desormais, sans Lisette ? Ah ! [...]
[...] niers jours se passèrent tristement. Lisette arrivait sur le midi, elle restait jusqu'à deux heures. Le soir venu, Benjamin l'allait rejoindre chez sa mère, et s'etonnait de toutes ces malles que l'ancienne comedienne rem plissait de mille oripeaux sans forme et sans nom. Il se [...]
[...] Et comme le lourd carrosse arrivait d'une horrible façon, tant il allait vite, elle prit la tète de Benjamin et la baisa. Sa mere etait dans le coupe de la diligence. A côte de sa mere, un homme as-ez laid, les doigts en spa tule et charges de bague s, une chaine d'or à son cou, des [...]
[...] Concurrences. (En chœur). — Comment, vous voilà aussi chez Entrée de ces messieurs (Trémolo à l'orchestre). 1" mère — Décolleter ses filles ainsi, c'est révoltant ! Autant ne pas les cette vieille racaille de père Grossac ! ! — Bonjour, cher monsieur Grossac, enchanté de vous serrer la main. — habiller du tout. Mon bon ami Grossac, que c'est charmant, délicieux ! — Salut, mon 2° mère. — Couvrir ainsi ses filles, quel ridicule ! Après ça, c'est sans doute excellent Grossac, fête ravissante ! votre fille est adorable ! — Mes hom [...]
[...] Comte. - Oh! mademo-elle, l'honneur de dan•er avec vou° la pre- crier des moule ! mere redowa ! — Le Vicomte. — Mademoiselle veut-elle me faire l'hon neur de m'accorder la premiere scotta-ch * - Le Baron timidement,. — Osera-je esperer la troisieme contredanse ? [...]
[...] et la laissant faire. Oublié, il oublie à son tour. Comme il rentrait dans leur maison, donnant le bras à sa mère, et son père à son côté, il rencontra M. le comte de Terre-Noire, qui lui dit : — Je vous cherchais, jeune homme. On a beaucoup [...]
[...] vous établir, avec la permission de M. et de M"° Ben Jamin. Sur quoi, le père et la mère et le jeune homme, ayant beaucoup remercié M. le comte, il ajouta : — Vous savez que nous avons un nouveau préfet? [...]
[...] " M. Prévost-Paradol, nommé à l'Académie fran çaise en remplacement de J.-J. Ampère, est né à Paris le 8 août 1829.Sa mère,M"° Prévost-Paradol, tragédienne distinguée, a laissé les plus hono rables souvenirs à la Comédie-Française. De bril [...]
[...] — Chut! mon père dort ! « Puisse, ajoute M"° Quinet, cet enfant, élevé par une aussi noble mère, égaler le général et Godefroi ! » Le lauréat de la Sorbonne, quoi qu'en disent les [...]
[...] pouvait plus ni avancer ni reculer; c'était effrayant, horrible. Des femmes tombaient évanouies; des mères qui avaient eu l'imprudence d'amener leurs enfants, leurs nourrissons, se sentaient défaillir et, avant de fléchir tenaient leurs bras en l'air, elles [...]
[...] les oreilles, je ne comprends pas un mot de ce que vous me dites; mais ce que je sais, c'est la peine que va éprouver notre mère lorsque j'aurai été forcée de lui apprendre comment vous employez vos loisirs. [...]
[...] Mon oncle le colonel en rirait comme d'un tour de page et me défendrait, si sa grande déférence pour ma mère ne paralysait ses bonnes intentions à mon égard ; mais ma mère, mes tantes, ma cousine et miss Mathilde, oh ! surtout miss Mathilde, que [...]
[...] un faible pour lui. Je l'ai toujours soupçonné d'ê tre républicain, mais par condescendance pour ma mère, légitimiste et ultramontaine, il taisait ses opinions dans nos réunions de famille. Quant à mon oncle le hussard, il était surtout [...]
[...] elle le faisait, je deviendrais un petit crétin. J'eus peur, je l'avoue, de la verte semonce que, selon toute probabilité, ma mère allait adresser à son frère , mais, bah ! c'était son Benjamin. Elle sourit et lui répondit : [...]
[...] J'y songeais tristement en parcourant les allées du jardin , la pensée du chagrin que j'allais causer à ma mère me désolait, et pourtant, à aucun prix, je n'eusse voulu transiger avec ma conscience et mes convictions : [...]
[...] méfait. — Aïe ! fit mon oncle en se grattant l'oreille. Et, bien entendu, ta mère n'en savait rien ? — Non, mon oncle. — Et qui le lui a dit ? [...]
[...] comme une fille; je le dirai à ma sœur. — Oh ! merci, mon oncle ! lui dis-je avec efl'u sion. J'ignore si ma mère voudra vous entendre ; cependant Rousseau, Voltaire, les grands principes de 89... [...]
[...] moi, ajouta-t-il. — Avec votre permission, mon oncle, je n'en ferai rien : je redoute le regard de ma mère. Le hussard haussa les épaules, et je suis per suadé qu'il pensait ceci : Mon neveu est un imbé [...]
[...] chapeau et dit : — Cette histoire doit être racontée avec les paroles qu'employaient nos grand'mères d'autrefois pour la ra conter à leurs petites-filles, qui sont nos grand'mères d'aujourd'hui. [...]
[...] filtrant à travers les pins noirs, et plus chancelante qu'un jeune chène secoué par le vent d'est. La grand'mère était vieille et presque aveugle. Zoé s'approcha d'elle et lui prit le bras. — Mère de mon père, lui dit-elle, où est mon frère ? [...]
[...] sont-ils venus à l'aurore t'ordonner de les rejoindre? Ou bien... Zoé interrompit sa grand'mère. — Lorsque je serai morte, dit-elle en sanglotant, vous défendrez à mes compagnes d'effeuiller sur ma tombe [...]
[...] sur son cœur et tomba aux pieds de son frère. Celui-ci crut rêver; il prit sa sœur dans ses bras. — Son nom ! son nom' dit la grand'mère en se pen chant sur la bouche de sa petite-fille. — Le garde des fondrières, murmura Zoé. [...]
[...] grand'mère,' - Un soir, à l'heure mème où Zoé était morte, la fiancée de son frère sortait de chez Constance et entrait dans la [...]
[...] — Grâce ! grâce ! — Que son agonie soit longue! dit la grand'mère. Veillons. Le lendemain, Constance se présenta devant le chef et [...]
[...] avec grâce sur le léger accent de la finale. A la fin des mots, l'y n'est que notre i. Exemple : pay, may, fray, père, mère, frère ; abréviations enfanti nes qui ont leurs analogues dans le patois de Gènes : poé, moé, froé. [...]
[...] les montagnes, et celui qui sied le mieux à la bouche des femmes, c'est maynat, enfant. Croirait on que je l'ai vu tirer de may (mère) et nat (natus); né d'une mère, vérité de la Palisse qui ferait peu d'honneur à la cons truction d'une langue ! M. Génin a, du reste, parfaite [...]
[...] Les père et mère et toute la mégnie... LA FoNTAINE (les Aveux indiscrets.) [...]
[...] cinqueme, j'enfonçai la porte d'un coup de pied, et, rendu par la douleur aux habitudes de mon enfance, je tombai dans les bras de ma mère épouvantée, en criant : 1 — Maman ! ah ! maman ! [...]
[...] Cette pensée, avec toutes ses affreuses conséquences, passa dans mon esprit comme un éclair et j'appelai ma chinalement ma mère. " Ma mère n'était pas loin ; elle entra avec l'agitation d'une personne toujours en éveil. Comme je la trouvai [...]
[...] Je fis un effort pour me mettre sur mon séant, et je dis : — Quel jour sommes nous, ma mère ? — Recouche-toi, mon amour, fit ma mère, croyant sans doute à un caprice de malade. [...]
[...] ma mère de la main. Elle crut que je voulais dormir sans doute, car elle s'éloigna sur la pointe des pieds. Je ne voulais pas dormir, je voulais penser; le pre [...]
[...] mouchoir pour étouffer le sanglot qui du cœur me mon tait aux lèvres et pour le dérober à ma mère. Souvent aussi, malgré les efforts qu'elle faisait pour me cacher sa tristesse, j'apercevais ses yeux, rouges de [...]
[...] C'était la première fois que depuis un an le nom d'Em manuel était prononcé entre nous. . Ma mère me regardait fixement pour lire dans ma pensée; je continuai en étouffant les battements de mon COetlr : - [...]
[...] voulu te le montrer. — Pourquoiº demandai-je avec un sourire. Ma mère me regarda un instant en silence, puis me dit en baissant la voix : . -- Tu ne l'aimes donc plus ? - [...]
[...] -- Tu ne l'aimes donc plus ? - Je sentis qu'il est des mensonges permis par Dieu, et m'agenouillant devant ma mère, je lui dis : — Mère, je n'aime plus que toi. Ma mère couvrit mon front de larmes et de baisers et [...]
[...] • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • •Aujourd'hui ma sainte mère n'est plus là; le premier chagrin qu'elle m'ait causé fut pour obéir à Dieu qui la rappelait à lui; elle est morte en me bénissant , j'ai vieilli, [...]
[...] je porte sur la tombe de ma mere un bouquet de lilas blancs. [...]
[...] gnaient de sa supériorité. Sous les yeux sévères de leur père - et sur tout de leur mère — les jeunes gens se gardaient d'approcher Antoinette et de l'inviter à danse . C'était ainsi à peu près partout, dans le monde [...]
[...] remarqué un jeune homme, discret dans ses adorations, et retenu à l'écart par une de ces mères vigilantes et inquiètes dont j'ai parlé. C'était un jeune homme de vingt-sept à vingt huit ans, nommé Eloi Duparc, bien élevé, d'une [...]
[...] En rentrant de son bureau Eloi, tout joyeux du plaisir qu'il se promettait, fut stupéfait de voir que son père et sa mère n'avaient fait aucun pré paratif en vue de la soirée. - Il en fit la remarque. [...]
[...] — Ta mère est souffrante. -- Qu'as-tu, maman ? demanda Eloi à sa mère. — Moi, rien. [...]
[...] Eloi ne souflla mot et se retira tout rêveur. On dîna tristement ce jour-là dans la famille Duparc. La mère était visiblement agacée ; le père trouva tout mauvais depuis le potage jusqu'au fromage, et le fils garda une attitude sournoise, [...]
[...] d'infinies précautions. Antoinette ravageait la cervelle d'Eloi ; il suffi sait de la confidence que lui avait fait sa mère, pour que son désir de se trouver seul en pré sence de la jeune fille devînt invincible. [...]
[...] — Et le papa ? Et la maman ? lui demanda-t OIl . — Ma mère est souffrante, vous savez bien — répondit Eloi du ton le plus naturel du monde, et je suis chargé de toutes ses excuses. [...]
[...] plutôt que d'en pleurer. Ce qu'Antoinette avait paru ne pas remarquer jusqu'alors, c'est que son père et sa mère lal saient des sacrifices énormes pour l'entretenir sur un certain pied de toilette et d'élégance en [...]
[...] Votre douleur fut éphémère, Vous qui laissez errer vos morts Ainsi que des enfants sans mère ! [...]
[...] mères ou des nourrices, il en meurt la première année . [...]
[...] La mère de Démosthène passait les premiers mois de son deuil dans une jolie bastide que son mari avait achetée sur les bords de la mer pour aller se reposer des fatigues du barreau. [...]
[...] sur la mère de Démosthène, qui, depuis la mort de son mari, avait trouvé une douce distraction à sa douleur dans l'aimable compagnie de la jeune fille. De son côté, Thérèse [...]
[...] pins qui touchait au rivage, elle rêvait délicieusement, son cœur se dilatait, elle sentait, en face de la nature, le réveil d'une âme forte et d'une sensibilité exquise. Parfois la mère de Démos thène l'accompagnait; alors la jeune fille était distraite de ses rêveries accoutumées par la conversation de la bonne mère, [...]
[...] lettre du héros de ses rêves annonça à l'heureuse veuve le jour fixé † l'arrivée de son fils. ll devait, avant de se montrer à la ville, aller embrasser sa mère à la campagne, et s'y arrêter une semaine pour se reposer de la fatigué du voyage. Le jour si vivement désiré par la mère de Démosthène et [...]
[...] rites du fils; mais la mère les exaltait avec tant de conviction et [...]
[...] Après avoir embrassé sa mère, sa sœur et son beau-frère, et baisé galamment la blanche main de madame Delvil, Dé mosthène entra dans le salon, très-faiblement éclairé ; il [...]
[...] suis oublié en lui récitaut de beaux vers ; elle les sentait si bien qu'elle encourageait mon faible talent. - Je l'avais prévu, dit naïvement la mère de Démosthène; vous avez les inêmes goûts, vous deviez vous entendre. - Ainsi, monsieur, poursuivit madame Delvil avec une sorte d'irritation, vous [...]
[...] de nos premières tragédiennes. —Jésus Marie ! s'écria l'hon nète veuve scandalisée, je savais bien que Paris te perdrait. - Soyez tranquille , ma mère, je n'épouserai jamais cette femme; mais je dois quelques égards à son dévouement à ses malheurs, à son talent : je vais la reconduire à la ville, lui [...]
[...] flexion fut un premier désenchantement. En arrivant, Démosthène, qui avait étudié son rôle, em brassa cordialement sa mère, serra la main de sa sœur, fit un salut gracieux à madame Delvil, et sourit à Thérèse avec mélancolie. « Oublions ce qui vient de se passer, dit-il à sa [...]
[...] contemplent en riant le drap étendu sur le cercueil de leur père, et qui admirent la beauté des cierges allumés aux funé railles de leur mère. [...]
